1 PIERRE 5.10-11
30/10/2018 00:091 Pierre 5.10-11
Or, que le Dieu de toute grâce, qui nous a appelés à sa gloire éternelle en Jésus-Christ, après que vous aurez un peu souffert, vous rende parfaits, fermes, forts et inébranlables. A lui soient la gloire et la force aux siècles des siècles! Amen.
1 PIERRE 5.10-11
Verset du jour
Le Dieu de toute grâce nous a appelés à Sa gloire éternelle en Jésus-Christ! Quelle déclaration extraordinaire, n’est-ce pas? Qui peut en mesurer la portée? Ne le remarquons-nous pas, à l’aune du jour d’éternité, les joies comme les douleurs de la terre deviennent tout à coup toutes relatives. Oui, tout cela passera.
Toutefois, que personne ne se méprenne, ce n’est pas à dire que l’épreuve soit anecdotique et, encore moins, insignifiante. Non, pas du tout! On ne peut raisonnablement pas nier les souffrances qui jalonnent la marche. Indéniablement, elles sont bel et bien réelles. D’ailleurs, ce n’est certes pas sans raison que le Seigneur évoque une porte étroite et une voie resserrée comme devant mener ceux qui les empruntent à la vie. Néanmoins, face à ce grand défi, nous possédons une grande et précieuse espérance. Bientôt, même très bientôt, nous serons auprès du Sauveur. En quoi consiste notre consolation sinon en ce que la perspective de l’éternité bienheureuse subsiste toujours devant nos yeux?
Alors nous avançons, alors nous marchons et, coûte que coûte, nous persévérons! Il est tout à fait évident que notre investissement ne se situe pas dans les choses de la terre. Ici, au contraire, nous renonçons à nos vies et ne regardons pas à la dépense. Qu’importe si l’homme extérieur se détruit puisque l’homme intérieur, quant à lui, est renouvelé de jour en jour! En réalité, notre seul et unique désir est d’être trouvé en Christ. Dans l’absolu, tout le reste n’est que vanité et rien d’autre n’a la moindre importance. Notre cité est dans les cieux et, là-bas, nos cœurs se trouvent déjà!
Aussi, avec l’apôtre Paul et, par la grâce de Dieu, nous pouvons affirmer sans hésitation: » […] tout bien compté, j’estime que les souffrances du temps présent ne sont point comparables à la gloire à venir qui doit être révélée en nous. »
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