2 THESSALONICIENS 2.16-17
19/11/2020 00:252 Thessaloniciens 2.16-17
Or, que notre Seigneur Jésus-Christ lui-même, et Dieu notre Père, qui nous a aimés, et qui nous a donné dans sa grâce une consolation éternelle, et une bonne espérance, console vos coeurs, et vous affermisse en toute bonne doctrine et en toute bonne oeuvre.
2 THESSALONICIENS 2.16-17
Verset du jour
Le monde contient toutes sortes de doctrines. Il contient toutes sortes de maîtres à penser, de concepts et de philosophies. Au milieu de tout ce bruit, n’y a-t-il pas de quoi se perdre et sombrer dans le désespoir? Sans aucun doute. Quel privilège incomparable, dans tout ce vacarme, la voix du bon Berger retentit dans nos cœurs! Quiconque est de la vérité écoute Sa voix. Jésus-Christ nous conduit et nous abreuve de Ses paroles. Elles sont esprit et vie. En elles ne se trouvent aucune fausseté ni aucune tromperie. L’eau dont le Seigneur nous abreuve est pure. Ne sommes-nous pas libres si la vérité réside dans nos cœurs? Quel mensonge nous atteindra? Quelle erreur nous fera vaciller?
Prenons garde de ne pas nous laisser séduire par les discours orgueilleux des hommes. Prenons garde de ne pas tomber dans leurs filets. N’écoutons pas les étrangers, fuyons loin d’eux! Ne devrions-nous pas exercer notre oreille à entendre la voix du Berger? N’est-ce pas notre sécurité? « Comment? » s’interrogera peut-être quelqu’un! Quel moyen avons-nous pour apprendre à la discerner? Quel moyen avons-nous pour connaître Sa pensée? Sa Parole, bien entendu! En elle se trouve le témoignage de Jésus-Christ. Certes, c’est le Seigneur qui nous affermit en toute bonne doctrine et en toute bonne oeuvre.
Toutefois, n’est-il pas évident que ceci suppose que nous L’écoutions? Comment l’Esprit du Seigneur nous remettrait-Il en mémoire les paroles de Jésus si nous ne les avons jamais entendues? Ne soyons pas insensés, ne négligeons la Parole de Dieu! C’est une évidence, nous avons besoin d’être affermis dans la vérité! Croyons-le fermement, tout ce qui a été écrit autrefois, a été écrit pour notre instruction, afin que, par la patience et la consolation que donnent les Écritures, nous possédions l’espérance. Ne manquons pas de la saisir!
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