Il me fit voir Josué, le souverain sacrificateur, debout devant l’ange de l’Éternel

27/11/2013 06:28

Il me fit voir Josué, le souverain sacrificateur, debout devant l’ange de l’Éternel, {#Za 3:1}

En Josué le souverain sacrificateur nous voyons une image de chaque enfant de Dieu, qui a été fait proche par le sang de Christ, qui a été enseigné à administrer les choses saintes, et à pénétrer vers ce qui est à l’intérieur du voile. Jésus nous a fait sacrificateurs et rois en Dieu, et même ici sur terre nous exerçons le sacerdoce d’un service consacré, vivant et sanctifié. Mais il est dit que ce souverain sacrificateur est « debout devant l’ange de l’Éternel », c’est-â-dire debout pour servir. C’est la place perpétuelle que doit tenir chaque vrai croyant. Chaque endroit est maintenant le temple de Dieu, et son peuple peut le servir réellement aussi bien dans ses emplois journaliers que dans sa maison. Ils doivent toujours assurer le service, offrant le sacrifice spirituel de la prière et de la louange, et présentant eux-mêmes un « vivant sacrifice ». Mais notons l’endroit où se tenait Josué pour assurer son service : « il était debout devant l’ange de l’Éternel ». C’est seulement à travers un médiateur que nous, pauvres êtres impurs, pouvons un jour devenir des sacrificateurs pour Dieu. Je présente ce que j’ai devant le messager, l’ange de l’alliance, le Seigneur Jésus ; et à travers lui mes prières trouvent l’acceptation, enveloppée dans ses prières ; mes louanges deviennent douces lorsqu’elles sont couvertes de myrrhe, d’aloès, et autres plantes du propre jardin de Christ. Si je ne peux rien lui apporter que mes larmes, il les mettra avec ses propres larmes dans sa propre coupe, parce qu’il a jadis pleuré ; si je ne peux lui apporter que mes gémissements et mes soupirs, il les acceptera comme un sacrifice acceptable, parce qu’il a eu jadis le cœur brisé, et qu’il a soupiré profondément dans son esprit. Et moi-même, me tenant debout devant lui, je suis accepté dans le Bien-aimé ; et toutes mes œuvres polluées, qui sont pourtant en elles-mêmes objets de l’horreur divine, sont ainsi reçues, et Dieu leur trouve une saveur douce. Il est heureux et je suis béni. Voyez, alors, la place du chrétien : « un sacrificateur debout devant l’ange du Seigneur ».

 

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