Je suis la Porte...
UN MESSAGE D'AMOUR
La bonne réponse à la question du jour était "1 Jean chapitre 5" (verset 12 "Qui a le Fils, a la vie; qui n'a point le Fils de Dieu, n'a point la vie.")!
La Bible est catégorique quant au critère qui permet de définir si un homme a la vie ou non! Le Seigneur Jésus Lui-même a affirmé sans détour que celui qui croit au Fils a la vie éternelle mais que la colère de Dieu demeure sur celui qui Lui désobéit (Jean 3.36). À l'évidence, il n'existe pas de position intermédiaire, il n'est pas de place pour le compromis. De deux choses l'une, soit l'homme donne son cœur (Proverbes 23.26) au Fils de Dieu (Marc 1.1) soit il Lui en refuse l'accès. Qui rejoint le troupeau du Berger (Jean 10.14) marche sereinement (Esaïe 28.16) et est conduit sur le sentier de la vie (Proverbes 2.19). Qui n'obéit pas de cœur (Romains 6.17) à l’Évangile de Jésus-Christ (2 Thessaloniciens 1.8) demeure sans Dieu dans le monde (Éphésiens 2.12) dans l'attente d'une condamnation certaine (Marc 16.16).
Par ailleurs, le Christ a assuré que quiconque n'est pas avec Lui est contre Lui (Luc 11.23) de même qu'Il vomira de sa bouche tous ceux qui auront été tièdes (Apocalypse 3.16). Quels solennels avertissements! À présent, il incombe à l’homme de saisir la grâce de Dieu et la vie éternelle (1 Timothée 6.12) tant que perdure le jour du salut (2 Corinthiens 6.2). Il doit impérativement le faire avant que la Porte (Jean 10.9) ne soit définitivement et irrémédiablement fermée (Apocalypse 3.7). Regardons, il y a déjà eu un précédent aux jours de Noé (Genèse 7.16). Le patriarche et sa famille sont entrés dans l'arche puis l’Éternel a refermé la porte sur eux (Genèse 7.16) condamnant ainsi le monde à une perdition certaine (Hébreux 11.7). L'enjeu est sérieux!
Dans les derniers jours, Dieu a parlé par le Fils (Hébreux 1.2). Dieu L'a donné (Jean 3.16) pour être l'Agneau qui ôte le péché du monde (Jean 1.29). C'est sur Lui qu'est tombé le châtiment (Esaïe 53.6) réservé aux hommes en raison de leurs nombreux péchés et iniquités. Le Sauveur (1 Jean 4.14) est mort en croix (Philippiens 2.8), souffrant une fois pour les péchés (1 Pierre 3.18) afin qu'ils soient purifiés (Hébreux 1.3), expiés (Hébreux 9.15). Jésus-Christ a scellé par Son propre sang (Luc 22.20) l'Alliance nouvelle et éternelle dont Il est le Garant (Hébreux 7.22).
Aujourd'hui, Il sauve parfaitement quiconque s'approche de Dieu par Lui (Hébreux 7.25). Et pour cause, étant toujours vivant, Son intercession en faveur des rachetés ne cesse jamais: le Christ glorifié (Jacques 2.1) est leur précieux Avocat auprès du Père (1 Jean 2.1). Par conséquent, ceux-là sont constamment maintenus en Son Nom (Jean 16.26) dans une justice parfaite devant Dieu. C'est ici la bonne nouvelle, c'est ici l’Évangile.
Néanmoins, le temps de la patience de Dieu prendra afin (Romains 3.25). Alors, une fois la porte close (Apocalypse 3.7), comme aux jours de Noé, il sera trop tard. C'est pourquoi, il appartient maintenant à chacun de se déterminer vis-à-vis du Fils de Dieu. Quoi qu'il en soit, justice sera faite car Dieu est juste (Daniel 9.14). Le tout revient à savoir si on souhaite faire face au terrible jugement seul (Hébreux 10.27) ou invoquer, avec reconnaissance (Colossiens 3.15), le Nom du précieux Sauveur qui a déjà subi le châtiment qui devait tomber sur les impies (Esaïe 53.5). En d'autres termes, acceptons-nous, oui ou non, la main tendue de Dieu, la grâce de Dieu (Tite 2.11)? #triviaUMDA
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