Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme
25/01/2014 12:55Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme
Le Christ Jésus a assumé la nature humaine sans cesser d’être Dieu :
Il est vraiment Dieu et vraiment homme.
« (Gal 4 : 4). mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme, né sous la loi, »
4:4 lorsque les temps ont été accomplis. Conformément au calendrier de Dieu, au moment où les conditions religieuses, culturelles et politiques voulues ont été réunies, Jésus est venu dans le monde.
Dieu a envoyé son Fils. De même qu’un père décide du jour de la cérémonie prévue pour que son fils passe au statut d’adulte, c’est à ce moment précis que Dieu a envoyé son Fils pour sortir tous ceux qui croient de l’esclavage de la loi. Jésus affirma maintes fois cette vérité (#Jn 5:30, #Jn 5:36-37 ; #Jn 6:39, #Jn 6:44, #Jn 6:57 ; #Jn 8:16, #Jn 8:18, #Jn 8:42 ; #Jn 12:49 ; #Jn 17:21, #Jn 17:25 ; #Jn 20:21). Le fait que le Père envoya Jésus dans le monde enseigne la préexistence de celui-ci en tant que deuxième personne de la Trinité. Voir les notes sur Ph 2:6-7 {==> "Ph 2:6"}; Hé 1:3-5 {==> "Hé 1:3"}; cf. #Ro 8:3-4.
né d’une femme. Cela souligne la pleine humanité de Jésus, et pas seulement sa conception virginale (#Esa 7:14 ; #Mt 1:20-25). Il fallait que Jésus soit pleinement Dieu pour que son sacrifice possède la valeur infinie nécessaire à la rédemption du péché. Il devait aussi être pleinement homme pour pouvoir légitimement prendre sur lui le châtiment du péché en se substituant à l’homme. Voir #Lu 1:32, #Lu 1:35 ; #Jn 1:1, #Jn 1:14, #Jn 1:18.
sous la loi. Comme n’importe quel homme, Jésus était tenu d’obéir à la loi. Au contraire de tout homme, il l’a parfaitement respectée (#Jn 8:46 ; #2Co 5:21 ; #Hé 4:15 ; #Hé 7:26 ; #1Pi 2:22 ; #1Jn 3:5). Du fait qu’il n’a commis aucun péché, il a pu servir de sacrifice saint pour les péchés, être celui qui accomplit toute la justice, c’est-à-dire celui qui obéit à Dieu en tout. C’est cette même justice parfaite qui est imputée à ceux qui croient en lui.
C’est ainsi que s’accomplit la promesse d’un sauveur, promesse faite par Dieu à Adam
et Ève au moment de les expulser du Paradis :
« (Gn 3, 15). Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. »
3:15 Après avoir maudit le serpent physique, Dieu se tourna vers le serpent spirituel, Satan, le séducteur menteur, pour le maudire.
t’écrasera la tête … blesseras le talon. Ce « Protoévangile » annonce prophétiquement la lutte entre « ta postérité » (Satan et les non-croyants, qui sont qualifiés de fils du diable en #Jn 8:44) et « sa postérité » (Christ, un descendant d’Eve, et ceux qui sont en lui) ainsi que son issue. Cette lutte a commencé dans le jardin. Un message d’espérance ressort de ce passage de malédiction: la progéniture de la femme, c’est Christ, qui vaincra un jour le serpent. Satan ne pouvait que « blesser » son talon (le faire souffrir), tandis que Christ « écrasera » la tête du diable (lui portera un coup fatal). Paul, dans un passage qui rappelle fortement #Ge 3, encouragea les croyants de Rome avec ces mots: « Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds » (#Ro 16:20). Les croyants devraient être conscients qu’ils participent à l’écrasement de Satan car, avec leur Sauveur et grâce à son œuvre accomplie sur la croix, ils sont aussi de la postérité de la femme. A propos de la destruction de Satan, voir #Hé 2:14-15 ; #Ap 20:10.
Ce verset de la Genèse (Gn 3, 15). est appelé protoévangile parce qu’il constitue la toute première annonce de la bonne nouvelle du salut.
« Jean 1 : 14 Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.»,
la Parole a été faite chair. Alors que Christ, en tant que Dieu, n’a pas été créé et demeure éternel (voir les notes sur le v. 1 {==> "Jn 1:1"}), le verbe « a été faite » souligne le processus par lequel il a endossé la nature humaine (cf. #Hé 1:1-3 ; #Hé 2:14-18). Cette vérité est très clairement la plus importante, car elle indique que l’infini a accepté de devenir fini; l’Eternel s’est conformé au temps; l’invisible est devenu visible; celui qui est surnaturel s’est abaissé au naturel. Dans son incarnation, en revanche, la Parole n’a jamais cessé d’être Dieu mais elle a été faite Dieu dans une chair humaine, c’est-à-dire que sa divinité n’a pas été amoindrie en prenant forme humaine (#1Ti 3:16).
a habité. Signifie « édifier un temple » ou « habiter dans une tente ». Ce terme renvoie au tabernacle de l’A.T. où Dieu rencontra Israël avant la construction du temple (#Ex 25:8). On l’appelait « tente d’assignation » (#Ex 33:7 ; « tente du témoignage » LXX), et le Seigneur y parla à Moïse face à face, comme un homme à un ami » (#Ex 33:11). Dans le N.T., par contre, Dieu choisit d’habiter parmi les hommes de façon beaucoup plus personnelle, en devenant l’un d’eux. Dans l’A.T., une fois le tabernacle terminé, la présence de Dieu remplit toute la structure (#Ex 40:34 ; cf. #1R 8:10). Quand la Parole devint chair, la glorieuse présence de la divinité fut incarnée en elle (cf. #Col 2:9).
pleine de grâce et de vérité. Jean avait probablement #Ex 33:1-34:@ à l’esprit. A cette occasion, Moïse demanda à Dieu de lui manifester sa gloire. Le Seigneur répondit à Moïse qu’il ferait passer devant ses yeux toute sa « bonté », et quand il passa devant lui, il se présenta comme un Dieu plein de compassion, de miséricorde, de patience, de bonté et de fidélité (#Ex 33:18-19 ; #Ex 34:5-7). Ces attributs de la gloire de Dieu soulignent sa bonté, en particulier en rapport avec le salut. Jésus, en tant que « l’Éternel » de l’A.T. (#Jean 8:58: je suis), manifesta les mêmes attributs divins quand il établit son tabernacle parmi les hommes à l’époque du N.T. (#Col 2:9).
et nous avons contemplé sa gloire. Sa divinité fut certes voilée en prenant forme humaine, mais les Évangiles révèlent, comme par des éclairs, des aperçus de sa divine majesté. Les disciples eurent un aperçu de sa divinité sur la montagne de la transfiguration (#Mt 17:1-8). La référence à la gloire de Christ, cependant, n’était pas seulement visible mais aussi spirituelle: ils le virent faire la preuve de ses attributs divins ou des caractéristiques de Dieu (grâce, bonté, miséricorde, sagesse, vérité, etc.; cf. #Ex 33:18-23).
gloire comme … du Père. Jésus était le Fils unique de Dieu, et il démontra la même gloire que son Père. Par essence, ils ont la même nature (cf. #Jn 5:17-30 ; #Jn 8:19 ; #Jn 10:30). L’expression « Fils unique » est une traduction peu exacte, car ce mot ne dérive pas du verbe « engendrer » mais évoque plutôt l’idée qu’il était « le seul bien-aimé du Père ». Cela signifie, par conséquent, que sa particularité consistait dans le fait qu’il était aimé comme nul autre. Par ces paroles, Jean souligne le caractère privilégié de la relation entre le Père et le Fils au sein de la Trinité (cf. #Jn 3:16, #Jn 3:18 ; #1Jn 4:9). Cela n’a rien à voir avec son origine mais avec son unique prééminence; ce terme fut p. ex. utilisé à propos d’Isaac (#Hé 11:17), qui était le second fils d’Abraham (Ismaël étant l’aîné; cf. #Ge 16:15 avec #Ge 21:2-3).
Quoique Dieu ait préparé la venue du Sauveur surtout moyennant le choix du peuple d’Israël, cela ne signifie pas qu’il abandonnait les autres peuples, les « gentils » La Providence divine fit que les païens gardent une conscience plus ou moins explicite de la nécessité du salut, et jusque dans les moindres recoins de la terre, on conservait le désir d’être sauvés. L’Incarnation a pour origine l’amour de Dieu envers les hommes : « Voici comment Dieu a manifesté son amour parmi nous :
(1 Jean 4 : 9). « L’amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. ».
4:9 Jean présente ici la deuxième des 5 raisons de l’amour chrétien: le croyant doit suivre l’exemple suprême de l’amour sacrificiel de Dieu qui a envoyé son Fils pour nous. Le jugement du péché sur la croix a constitué l’exemple suprême d’amour de sa part, puisqu’il a déversé sa colère sur son Fils bien-aimé au lieu de la répandre sur les pécheurs (#Jn 3:14-16 ; #Ro 5:8 ; #2Co 5:21 ; #Ep 5:1-2 ; voir la note sur Tit 3:4 {==> "Tit 3:4"}).
unique. Plus de la moitié des occurrences de ce qualificatif dans le N.T. se retrouvent chez Jean (p. ex. #Jn 1:14, #Jn 1:18 ; #Jn 3:16, #Jn 3:18). L’apôtre l’attribue toujours à Christ, pour dépeindre le caractère unique de sa relation avec le Père, sa préexistence et ce qui le distingue de la création. Il souligne le caractère unique de Christ, qui ne peut être comparé à aucun autre. C’est lui que le Père a envoyé dans le monde comme le plus grand des cadeaux jamais offerts (#Jn 17:3 ; #2Co 8:9), afin que nous ayons la vie éternelle (cf. #Jn 3:14-15 ; #Jn 12:24).
L’Incarnation est la démonstration par excellence de l’Amour de Dieu pour les hommes, étant donné qu’en elle, c’est Dieu lui-même qui se donne aux hommes, participant à la nature humaine dans une unité de personne. Après la chute d’Adam et Ève au paradis terrestre, l’Incarnation reçoit une finalité salvatrice et rédemptrice,
Le Christ a affirmé de lui-même que :
(Luc 19 : 10) «Car le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.»
(Mt 18 : 11) « Car le Fils de l’homme est venu sauver ce qui était perdu. »
Fils de l’homme. Voir les notes sur Mc 2:10 {==> "Mr 2:10"}; Jean 1:51 {==> "Jean 1:51"}. C’est le nom que Jésus s’attribua le plus fréquemment. Il apparaît 83 fois dans les Évangiles, uniquement dans la bouche de Jésus. C’était un titre messianique (#Da 7:13-14), avec une allusion évidente à l’humanité et l’humilité de Christ. Il dénote pourtant aussi sa gloire éternelle, comme le montre #Da 7:13-14 (cf. #Mt 24:27 ; #Ac 7:56).
(Jean 3 : 16 et 17) 16 Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. 17 Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.
Car Dieu a tant aimé le monde. La mission du Fils est entièrement motivée par l’amour suprême de Dieu pour un monde méchant et pécheur (cf. #Jn 6:32, #Jn 6:51 ; #Jn 12:47 ; voir les notes sur 1:9 {==> "Jn 1:9"}; Mt 5:44-45 {==> "Mt 5:44"}) qui est en rébellion contre lui. « Tant » souligne l’intensité et la force de cet amour. Le Père a offert son Fils unique et bien-aimé pour qu’il meure en faveur d’hommes pécheurs (voir la note sur 2 Co 5:21 {==> "2Co 5:21"}).
la vie éternelle. C’est la première d’une dizaine de références à la « vie éternelle » dans l’Évangile de Jean, une cinquantaine dans le N.T. La vie éternelle ne désigne pas seulement une vie d’une longueur infinie mais aussi d’une qualité supérieure. Littéralement cela signifie « la vie de l’âge à venir », et cela renvoie donc à la résurrection et à l’existence céleste dans la gloire et la sainteté parfaites. Cette vie, les croyants en font déjà l’expérience ici-bas, avant même d’arriver au paradis. Avoir la « vie éternelle », essentiellement, signifie partager la vie éternelle de la Parole vivante, Jésus-Christ. C’est la vie de Dieu dans chaque croyant, qui ne sera rendue complètement manifeste qu’à la résurrection des morts (#Ro 8:19-23 ; #Ph 3:20-21).
L’Incarnation manifeste l’amour infini de Dieu pour les hommes, son infinie miséricorde, sa justice, son pouvoir, non moins que la cohérence du plan divin de salut. La profonde sagesse de Dieu se voit dans le fait que l’Incarnation du Verbe, la forme choisie pour sauver l’homme, est la plus convenable à notre nature humaine. Jésus-Christ, le Verbe Incarné, n’est ni un mythe, ni une quelconque idée abstraite ; c’est un homme qui a vécu dans un contexte concret et qui est mort après avoir mené sa propre existence dans l’évolution du plan de Dieu. L’investigation historique sur lui est donc une exigence de la foi chrétienne. L’existence réelle du Christ appartient à la doctrine de la foi, de même que sa mort véritable pour nous, et sa résurrection au troisième jour ( 1 Co 15 : 3-11).
Le rapport des témoins oculaires a été inclus dans le N.T. pour étayer la réalité de la résurrection. Ces témoins étaient:
1° Jean et Pierre ensemble (#Jn 20:19-20) et peut-être aussi, une première fois, chacun séparément (#Lu 24:34);
2° les douze (#Jn 20:19-20 ; #Lu 24:36 ; #Ac 1:22);
3° les cinq cents, dont il est question seulement dans ce passage, qui avaient tous vu le Christ ressuscité (cf. #Mt 28:9 ; #Mr 16:9, #Mr 16:12, #Mr 16:14 ; #Lu 24:31-39 ; #Jn 21:1-23);
4° Jacques, l’un des deux apôtres qui portaient ce nom (fils de Zébédée ou fils d’Alphée; cf. #Mr 3:17-18) ou le demi-frère du Seigneur et l’auteur de l’épître qui porte ce nom, qui était aussi l’un des principaux responsables de l’Église de Jérusalem (#Ac 15:13-21);
5° les apôtres (#Jn 20:19-29).
Tous les apôtres ont été témoins de telles apparitions non spécifiées, qui ont eu lieu pendant quarante jours (#Ac 1:3).
Les apparitions du Christ ressuscité
À Jérusalem ou dans les environs :
À Marie de Magdala (Jean 20 : 11-18)
Aux autres femmes (Matthieu 28 : 8-10)
À Pierre (Luc 24 : 34)
Aux dix disciples (Luc 24 : 36-43) (Jean 20 : 19-25)
Aux onze Thomas compris (Jean 20 ; 26-29)
Lors de Son ascension (Luc 24 : 50-53)
Aux disciples sur le chemin d`Emmaüs ( Luc 24 : 13-35)
En Galilée (Matthieu 28 : 16-20) (Jean 21 : 1-24)
À 500 personnes (1Corr. 15 00; 6)
À Jacques et aux apôtres (1 Corr. 15 ; 7)
À Paul sur la route de Damas (Actes 9 : 1-6***18 : 9-10***22 : 1-8***23 : 11***26 : 12-18) (1 Corr. 15 : 8)
L’existence de Jésus est un fait prouvé par la science historique, surtout au moyen de l’analyse du Nouveau Testament, dont la valeur historique est hors de doute. Il existe d’autres témoignages antiques, non chrétiens, païens ou juifs, sur l’existence de Jésus. C’est précisément pour cela que ne sont pas acceptables les positions de ceux qui dissocient le Jésus historique du Christ de la foi, soutenant la supposition que presque tout ce que le Nouveau Testament dit du Christ ne serait qu’une interprétation de foi faite par les disciples de Jésus, alors que sa figure historique authentique nous resterait encore inconnue. Ces affirmations, qui sont en bien des cas issues d’un fort préjugé contraire au surnaturel, ne tiennent aucun compte de l’investigation historique contemporaine. Celle-ci tend à conclure que la présentation que fait le christianisme primitif de Jésus se base sur d’authentiques faits historiquement avérés.
Hypostase, le terme hypostase désigne une substance fondamentale, un principe premier.
Jésus homme
Jean 1 : 14 Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.
Jean 4 : 6 Là se trouvait le puits de Jacob. Jésus, fatigué du voyage, était assis au bord du puits. C’était environ la sixième heure.
Jean 19 : 28 Après cela, Jésus, qui savait que tout était déjà consommé, dit, afin que l’Ecriture fût accomplie: J’ai soif.
Hébreux 2 : 17 En conséquence, il a dû être rendu semblable en toutes choses à ses frères, afin qu’il fût un souverain sacrificateur miséricordieux et fidèle dans le service de Dieu, pour faire l’expiation des péchés du peuple ;
Philippiens 2 : 5 Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, 6 lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu, 7 mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; 8 (2-7) et ayant paru comme un simple homme, (2-8) il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. 9 C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, 10 afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, 11 et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père.
Jésus Dieu
Jean 18:6 Lorsque Jésus leur eut dit : C’est moi, ils reculèrent et tombèrent par terre.
Marc 8:6 Alors il fit asseoir la foule par terre, prit les sept pains, et, après avoir rendu grâces, il les rompit, et les donna à ses disciples pour les distribuer ; et ils les distribuèrent à la foule.
Matthieu 15:35 Alors il fit asseoir la foule par terre,
Matthieu 14 : 18 Et il dit : Apportez-les-moi. 19 Il fit asseoir la foule sur l’herbe, prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux vers le ciel, il rendit grâces. Puis, il rompit les pains et les donna aux disciples, qui les distribuèrent à la foule. 20 Tous mangèrent et furent rassasiés, et l’on emporta douze paniers pleins des morceaux qui restaient. 21 Ceux qui avaient mangé étaient environ cinq mille hommes, sans les femmes et les enfants.
Jean 8 : 58 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis.
Jean 10 : 30 Moi et le Père nous sommes un.
Jean 11 ; 43 Ayant dit cela, il cria d’une voix forte : Lazare, sors ! 44 Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandes, et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur dit : Déliez-le, et laissez-le aller.
Luc 1 : 35 L’ange lui répondit : Le Saint-Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu.
Jean 1 : 1 ¶ Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. 2 Elle était au commencement avec Dieu. 3 Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle. 4 En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. 5 ¶ La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue. 6 Il y eut un homme envoyé de Dieu : son nom était Jean. 7 Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous crussent par lui. 8 Il n’était pas la lumière, mais il parut pour rendre témoignage à la lumière. 9 Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. 10 Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l’a point connue. 11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue. 12 Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, 13 (1-12) lesquels sont nés, (1-13) non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. 14 Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.
—————