JOUR 60 DE 65 NOUVEAU TESTAMENT
1 JEAN 3 - 4 – 5
1 JEAN 3
1Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c’est qu’il ne l’a pas connu. 2Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. 3Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur. 4Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. 5Or, vous le savez, Jésus a paru pour ôter les péchés, et il n’y a point en lui de péché. 6Quiconque demeure en lui ne pèche point; quiconque pèche ne l’a pas vu, et ne l’a pas connu. 7Petits enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui pratique la justice est juste, comme lui-même est juste. 8Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les œuvres du diable. 9Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de Dieu. 10C’est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu, non plus que celui qui n’aime pas son frère.
V. 11-24: cf. Jn 13:34, 35; 15:12-21. 1 Jn 4:7, 8, 16-21.
11Car ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous devons nous aimer les uns les autres, 12et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il? parce que ses œuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes. 13Ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous hait. 14Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères. Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. 15Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui. 16Nous avons connu l’amour, en ce qu’il a donné sa vie pour nous; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les frères. 17Si quelqu’un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeure-t-il en lui? 18Petits enfants, n’aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. 19Par là nous connaîtrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos cœurs devant lui; 20car si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît toutes choses. 21Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. 22Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. 23Et c’est ici son commandement: que nous croyions au nom de son Fils Jésus-Christ, et que nous nous aimions les uns les autres, selon le commandement qu’il nous a donné. 24Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui; et nous connaissons qu’il demeure en nous par l’Esprit qu’il nous a donné.
1 JEAN 4
Les faux docteurs
V. 1-6: cf. De 13:1-3. (1 Jn 2:18-27. 2 Jn 7-11.)
1Bien-aimés, n’ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s’ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. 2Reconnaissez à ceci l’Esprit de Dieu: tout esprit qui confesse Jésus-Christ venu en chair est de Dieu; 3et tout esprit qui ne confesse pas Jésus n’est pas de Dieu, c’est celui de l’antéchrist, dont vous avez appris la venue, et qui maintenant est déjà dans le monde. 4Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. 5Eux, ils sont du monde; c’est pourquoi ils parlent d’après le monde, et le monde les écoute. 6Nous, nous sommes de Dieu; celui qui connaît Dieu nous écoute; celui qui n’est pas de Dieu ne nous écoute pas: c’est par là que nous connaissons l’esprit de la vérité et l’esprit de l’erreur.
Dieu est amour. Aimer Dieu et aimer ses frères
V. 7-21: cf. 1 Jn 3:11-24. (Jn 3:16, 17. Ro 5:5-8. Ép 5:1, 2.)
7Bien-aimés, aimons nous les uns les autres; car l’amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. 8Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour. 9L’amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. 10Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. 11Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres. 12Personne n’a jamais vu Dieu; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous. 13Nous connaissons que nous demeurons en lui, et qu’il demeure en nous, en ce qu’il nous a donné de son Esprit. 14Et nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde. 15Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. 16Et nous, nous avons connu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour; et celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui. 17Tel il est, tels nous sommes aussi dans ce monde: c’est en cela que l’amour est parfait en nous, afin que nous ayons de l’assurance au jour du jugement. 18La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour. 19Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier. 20Si quelqu’un dit: J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas? 21Et nous avons de lui ce commandement: que celui qui aime Dieu aime aussi son frère.
1 JEAN 5
La foi en Jésus, et ses conséquences
V. 1-13: cf. 2 Jn 5, 6. Hé 11. Jn 1:29-34; 3:16, 36; 20:31.
1 Quiconque croit que Jésus est le Christ, est né de Dieu, et quiconque aime celui qui l’a engendré aime aussi celui qui est né de lui. 2Nous connaissons que nous aimons les enfants de Dieu, lorsque nous aimons Dieu, et que nous pratiquons ses commandements. 3Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, 4parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi. 5Qui est celui qui a triomphé du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu? 6C’est lui, Jésus-Christ, qui est venu avec de l’eau et du sang; non avec l’eau seulement, mais avec l’eau et avec le sang; et c’est l’Esprit qui rend témoignage, parce que l’Esprit est la vérité. 7Car il y en a trois qui rendent témoignage: 8l’Esprit, l’eau et le sang, et les trois sont d’accord. 9Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand; car le témoignage de Dieu consiste en ce qu’il a rendu témoignage à son Fils. 10Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. 11Et voici ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. 12Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. 13Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu.
Efficacité de la prière
V. 14-21: cf. Jn 15:7. Mc 11:24. Ja 5:14-16.
14Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. 15Et si nous savons qu’il nous écoute, quelque chose que nous demandions, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée. 16Si quelqu’un voit son frère commettre un péché qui ne mène point à la mort, qu’il prie, et Dieu donnera la vie à ce frère, il la donnera à ceux qui commettent un péché qui ne mène point à la mort. Il y a un péché qui mène à la mort; ce n’est pas pour ce péché-là que je dis de prier. 17Toute iniquité est un péché, et il y a tel péché qui ne mène pas à la mort. 18Nous savons que quiconque est né de Dieu ne pèche point; mais celui qui est né de Dieu se garde lui-même, et le malin ne le touche pas. 19Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin. 20Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu’il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle. 21Petits enfants, gardez-vous des idoles.
2 JEAN 1 + INTRODUCTION
INTRO
INTRODUCTION À LA DEUXIÈME ÉPÎTRE DE JEAN
(Ép 4:15; 5:8, 9.)
La deuxième épître de Jean est un billet de circonstance d’un seul chapitre de treize versets qui, selon l’indication introductrice, a pour auteur l’ancien et pour destinataire Kyria l’élue (1).
«L’ancien» est un titre que l’auteur se donne. Il utilise dans la correspondance probablement celui qu’on lui donnait dans les Églises comme celles auxquelles il se présente (voir aussi 3 Jn 1). Le mot grec ainsi traduit indiquait un membre du sanhédrin chez les Juifs (Matt 16:21, Lc 22:52), mais il s’appliqua aux anciens dans l’Église (1 Tim 5:17; 1 Pi 5:5).
«Kyria l’élue» au féminin, rappelle son masculin, Seigneur. Dans ce sens, le terme évoque l’Église, l’épouse du Seigneur. Les destinataires sont par conséquent une Église locale composée de chrétiens considérés comme les membres du peuple de la Nouvelle Alliance avec Dieu: l’Église universelle (1 Pi 2:9).
Voici par ailleurs la structure de cette épître:
1. Adresse et salutations 1-3
2. L’amour fraternel; contre les faux docteurs 4-11
3. Vœux et salutations de conclusion 12-13
Par sa teneur, 2 Jean confirme dans les grandes lignes le contenu théologique et pastoral largement développé dans 1 Jean. On l’a déjà souligné (voir introduction à 1 Jean), la différence entre les deux réside dans le caractère épistolaire classique de 2 Jean absent de 1 Jean.
Le message de la seconde comme de la troisième épître de Jean, toutes deux de véritables billets d’un seul chapitre, est plus développé dans la première épître de Jean. Il a trait à l’amour fraternel et à la mise en garde contre les séducteurs. Que la seconde épître soit adressée à Kyria et à ses enfants suppose que ces préoccupations étaient les leurs d’une manière qui leur était propre. Ainsi certaines des préoccupations auxquelles correspondent les thèmes abordés dans les trois épîtres étaient particulièrement ressenties ici. En particulier:
- L’amour du prochain: «Et maintenant, ce que je te demande Kyria… c’est que nous nous aimions les uns les autres. Et l’amour consiste à marcher selon ses commandements.» 5-6
- La polémique contre ceux qui nient l’incarnation effective: «Car plusieurs séducteurs sont entrés dans le monde, qui ne confessent point que Jésus-Christ est venu en chair… Prenez garde à vous- mêmes… Quiconque va plus loin et ne demeure pas dans la doctrine de Christ n’a point Dieu… Si quelqu’un vient à vous et n’apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans votre maison…» 7-10.
2 JEAN 1
Adresse et salutation
V. 1-3: cf. 3 Jn 1. 2 Pi 1:1, 2.
1L’ancien, à Kyria l’élue et à ses enfants, que j’aime dans la vérité, et ce n’est pas moi seul qui les aime, mais aussi tous ceux qui ont connu la vérité, 2à cause de la vérité qui demeure en nous, et qui sera avec nous pour l’éternité: 3que la grâce, la miséricorde et la paix soient avec vous de la part de Dieu le Père et de la part de Jésus-Christ, le Fils du Père, dans la vérité et la charité!
L’amour fraternel
V. 4-6: cf. 3 Jn 3, 4. (Jn 13:34, 35. 1 Jn 5:1-3.)
4J’ai été fort réjoui de trouver de tes enfants qui marchent dans la vérité, selon le commandement que nous avons reçu du Père. 5Et maintenant, ce que je te demande, Kyria, non comme te prescrivant un commandement nouveau, mais celui que nous avons eu dès le commencement, c’est que nous nous aimions les uns les autres. 6Et l’amour consiste à marcher selon ses commandements. C’est là le commandement dans lequel vous devez marcher, comme vous l’avez appris dès le commencement.
Les faux docteurs
V. 7-13: cf. 1 Jn 4:1-6; 2:18-23.
7 Car plusieurs séducteurs sont entrés dans le monde, qui ne confessent point que Jésus-Christ est venu en chair. Celui qui est tel, c’est le séducteur et l’antéchrist. 8Prenez garde à vous-mêmes, afin que vous ne perdiez pas le fruit de votre travail, mais que vous receviez une pleine récompense. 9Quiconque va plus loin et ne demeure pas dans la doctrine de Christ n’a point Dieu; celui qui demeure dans cette doctrine a le Père et le Fils. 10Si quelqu’un vient à vous et n’apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans votre maison, et ne lui dites pas: Salut! 11car celui qui lui dit: Salut! Participe à ses mauvaises œuvres. 12Quoique j’eusse beaucoup de choses à vous écrire, je n’ai pas voulu le faire avec le papier et l’encre; mais j’espère aller chez vous, et vous parler bouche à bouche, afin que notre joie soit parfaite. 13Les enfants de ta sœur l’élue te saluent.
3 JEAN 1 + INTRODUCTION
INTRO
INTRODUCTION À LA TROISIÈME ÉPÎTRE DE JEAN
(1 Co 16:14, 24.)
La troisième épître de Jean est, comme la seconde, un billet de circonstance du même auteur qui se donne le même titre: l’«ancien» (voir l’introduction à 1 Jean pour le problème d’auteur, et celle à 2 Jean pour ce titre).
Elle a pour destinataire Gaïus, le bien-aimé, un des chrétiens de la communauté johannique resté fidèle à celui à qui on donne le titre d’ancien. Ce nom est très répandu dans le Nouveau Testament. Dans le livre des Actes des Apôtres, il s’agirait d’un des compagnons de voyage de l’apôtre Paul (voir Act 19:29). Dans les épîtres pauliniennes, il se rapporte à un chrétien de Corinthe qui, avec quelques autres, fait partie des chrétiens de cette Église que Paul reconnaît avoir baptisés (voir Rom 16:23; 1 Cor 1:14). Cependant, rien ne permet d’assimiler le destinataire de 3 Jean aux personnages mentionnés plus haut. Cette épître a quatre parties, qui sont:
1. Adresse et salutations 1-2
2. Éloge de Gaïus 3-8
3. Plainte contre Diotrèphe, éloge de Démétrius 9-12
4. Salutations finales 13-15
La teneur de 3 Jean comme celle de 2 Jean confirme, dans les grandes lignes, l’enseignement de 1 Jean. Il s’agit d’un aperçu des grands développements que l’auteur a exposé, dans cette première épître. Ils se résument en deux traits: l’amour fraternel qui résulte de la foi commune en Christ Jésus, et la mise en garde contre les faux frères.
L’éloge de Gaïus, au début de l’épître, comporte deux points: Gaïus marche dans la vérité, est charitable envers les frères, même ceux qui sont étrangers à la communauté. Cela se sait et on en rend un témoignage qui est parvenu à l’auteur.
La plainte contre Diotrèphe comporte trois points: il aime à être le premier, tient de méchants propos contre l’Église, ne reçoit pas les frères et en empêche ceux qui veulent le faire. De ces deux modèles contraires de responsables résultent les exhortations.
Que 3 Jean s’adresse particulièrement à Gaïus suppose que le message central de ces trois lettres devrait résonner de façon particulière ici. La plainte contre Diotrèphe (9-10) apporte cette marque particulière à celle qui nous concerne.
3 JEAN 1
Adresse et salutation. Éloge de Gaïus
V. 1-8: cf. Phm 1-7. Mt 10:40-42.
1L’ancien, à Gaïus, le bien-aimé, que j’aime dans la vérité. 2Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme. 3J’ai été fort réjoui, lorsque des frères sont arrivés et ont rendu témoignage de la vérité qui est en toi, de la manière dont tu marches dans la vérité. 4Je n’ai pas de plus grande joie que d’apprendre que mes enfants marchent dans la vérité. 5Bien-aimé, tu agis fidèlement dans ce que tu fais pour les frères, et même pour des frères étrangers, 6lesquels ont rendu témoignage de ta charité, en présence de l’Église. Tu feras bien de pourvoir à leur voyage d’une manière digne de Dieu. 7Car c’est pour le nom de Jésus-Christ qu’ils sont partis, sans rien recevoir des païens. 8Nous devons donc accueillir de tels hommes, afin d’être ouvriers avec eux pour la vérité.
Plainte contre Diotrèphe
V. 9-11: cf. Lu 20:46, 47. Ph 2:3. 1 Pi 5:3. 1 Co 4:18-21.
9J’ai écrit quelques mots à l’Église; mais Diotrèphe, qui aime à être le premier parmi eux, ne nous reçoit point. 10C’est pourquoi, si je vais vous voir, je rappellerai les actes qu’il commet, en tenant contre nous de méchants propos; non content de cela, il ne reçoit pas les frères, et ceux qui voudraient le faire, il les en empêche et les chasse de l’Église. 11Bien-aimé, n’imite pas le mal, mais le bien. Celui qui fait le bien est de Dieu; celui qui fait le mal n’a point vu Dieu.
Éloge de Démétrius. Salutations
V. 12-15: cf. Pr 22:1. 1 Pi 2:12.
12Tous, et la vérité elle-même, rendent un bon témoignage à Démétrius; nous aussi, nous lui rendons témoignage, et tu sais que notre témoignage est vrai. 13J’aurais beaucoup de choses à t’écrire, mais je ne veux pas le faire avec l’encre et la plume. 14J’espère te voir bientôt, et nous parlerons de bouche à bouche. 15Que la paix soit avec toi! Les amis te saluent. Salue les amis, chacun en particulier.
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