L’espoir des nations

19/02/2020 00:35

L’espoir des nations

 "1 Thessaloniciens 5 : 9 et 10" Car Dieu ne nous a point destinés à la colère, mais à la possession du salut par notre Seigneur Jésus-Christ, Qui est mort pour nous, afin que, soit que nous veillions, soit que nous dormions, nous vivions ensemble avec lui.") !

Il y a de l'espoir. Non, tout n'est pas perdu, il y a de l'espoir! C'est bien vrai, le monde s'enveloppe de ténèbres (1 Jean 5.19) et la méchanceté augmente. Néanmoins, la lumière brille dans le noir (Jean 1.5) et il y a de l'espoir! Plus que jamais, en ces temps d'adversité et d'angoisse (Luc 21.25), il est impératif de le proclamer (Romains 10.10)!

Dieu ne nous a point destinés à la colère, mais à la possession du salut par notre Seigneur Jésus-Christ (1 Thessaloniciens 5.9). Voici la grande espérance (1 Pierre 1.3) proposée à l'humanité! En dépit des apparences, en dépit de toutes les atrocités et autres horreurs qui se font sous le soleil (Ecclésiaste 1.9), l'homme n'est pas abandonné (Hébreux 13.5). Non, Dieu n'a pas renoncé à Sa créature. Evidemment, les bruits du monde (Marc 13.7) peuvent semer le doute et la confusion à ce sujet. Néanmoins, le Christ exhorte Ses fidèles à ne pas laisser leur cœur se troubler (Jean 14.1). Quoi qu'il se passe, quoi qu'il arrive, une vérité demeure toujours: Jésus-Christ a vaincu le monde (Jean 16.33).

C'est certain, Dieu aime le monde (Jean 3.16) et Il l'a prouvé (Romains 5.8) de la plus remarquable des manières: Il a donné Son propre Fils (1 Jean 4.10). Bien que disposant de toutes choses, le Fils s'est dépouillé de tout pour venir en simple homme (Philippiens 2.7) accomplir la grande mission. Il venait pour sauver Son peuple de leurs péchés (Matthieu 1.21). Certes, Il ne fut pas accueilli en héros. Au contraire, il fut rejeté dès le jour de Sa naissance, il n'y avait pas de place pour Lui (Luc 2.7). "Douleur" et "Souffrance" sont deux mots qui caractérisent si bien Sa vie (Esaïe 53.3). Rien ne Lui fut épargné: le rejet de Ses frères (Jean 7.5), le reniement (Luc 22.57) et l'abandon de Ses disciples (Marc 14.50), le mépris et les outrages du peuple (Esaïe 50.6), et enfin la crucifixion (Matthieu 27.31).

Toutefois, rien, absolument rien, n'a entamé Sa détermination à achever l'Oeuvre confiée par le Père (Jean 17.4). Jusqu'au bout, Il a aimé les Siens et a même mis le comble à Son amour (Jean 13.1). Il s'est sacrifié, donné volontairement (Jean 10.18), comme un Agneau (Jean 1.29) pur et sans tâche (Hébreux 9.14) pour accomplir la justice de Dieu (2 Corinthiens 5.21). Maintenant, et pour toujours, la rançon des coupables est payée (Marc 10.45), le Juste a plaidé pour eux (Esaïe 53.12).

Cet Acte d'amour a trouvé écho dans tous les âges et a embrasé le cœur de myriades d'hommes! En serait-il autrement aujourd'hui? La valeur, l'efficacité, du précieux sang de Christ serait-elle amoindrie? Non, naturellement. Ce sont les hommes qui se sont affaiblis !

A l'heure où ces lignes sont écrites, la Porte (Jean 10.9) est toujours ouverte. Mais elle commence à se refermer. L'appel de grâce retentit encore (Matthieu 11.28). Seulement, qui sont ceux qui L'entendent (Jean 18.37)? Le monde encourage à l'incrédulité, mais le Seigneur invite à la foi (Marc 1.15). Le bon Berger (Jean 10.14) appelle Ses brebis (Jean 10.10), ne laissons pas le monde étouffer Sa voix!

"C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière" a affirmé Edmond Rostand, avec raison. Aujourd'hui, sans se laisser ébranler en l'homme intérieur (Éphésiens 3.16), exerçons fermement la foi en Christ (Colossiens 2.5) sans discontinuer. Espérons contre toute espérance (Romains 4.18), la promesse est véritable (1 Pierre 5.12) et le conseil de Dieu tiendra (Esaïe 46.10). Dieu ne nous a point destinés à la colère, mais à la possession du salut par notre Seigneur Jésus-Christ (1 Thessaloniciens 5.9)! Croyons-le et, sans aucun doute, nous trouverons la force de vivre et d'aimer.

 

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