L’étoile de Bethléem
UN MESSAGE D'AMOUR·
"ils suivirent une étoile" (Matthieu 2:2 "Et dirent: Où est le roi des Juifs qui est né? car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus l'adorer.")!
Les mages d'orient ont suivi une étoile et ont trouvé dans la crèche le petit enfant Jésus. Aussitôt, ils ont reconnu le précieux don de Dieu fait aux hommes (Jean 4.10) et ont adoré le Messie. Le Sauveur du monde était là devant eux (1 Jean 4.14) et, tout à coup, toutes choses sont devenues nouvelles (2 Corinthiens 5.17). Enfin, leur quête prenait fin, leurs cœurs pouvaient cesser de s'agiter. Inutile dorénavant de courir par monts et vaux à la recherche d'un sens à l'existence. Ils ont trouvé la perle de grand prix (Matthieu 13.46), ils ont trouvé la paix (Éphésiens 2.14); ils ont fait la rencontre de Jésus-Christ.
Aujourd'hui, le monde s'affaire, se met en peine pour que tout soit prêt pour le grand soir du réveillon: les cadeaux, la dinde, le sapin... Tout doit être parfait! Seulement, dans tout cela, il semble que l'enfant Jésus ait été oublié (Luc 2.44). On ne se souvient plus de Sa beauté, de la signification de Sa venue, de la portée extraordinaire de Son oeuvre. Finalement, on ne sait plus ce que l'on fête ( commémore ) ni de quoi on se réjouit. Aussi, une fois le repas consommé, les présents échangés et déballés, l'enthousiasme s'estompe très vite. Soudain, la magie disparaît pour laisser réapparaître la solitude, le vide, l'absence cruelle d'un réel contentement (1 Timothée 6.6).
Bonne nouvelle, l'étoile brille toujours. Oui, la véritable lumière luit de mille feux et éclaire tout homme (Jean 1.9).
Naturellement, Jésus n'est plus dans la crèche à présent. Le temps de Son abaissement (Actes 8.33) a pris fin. Désormais, l'homme qui Le cherche doit regarder en haut. Par la foi, il L'y voit couronné de gloire et d'honneur (Hébreux 2.9), assis à la droite de Dieu (Colossiens 3.1). Par la foi, l'homme considère l'Oeuvre achevée, la croix et la mort vaincues (1 Corinthiens 15.26), les mains et les pieds percées du Sauveur (Jean 19.37). C'est alors que retentit ce merveilleux appel qui résonne sans cesse depuis des siècles et des siècles: "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai" (Matthieu 11.28).
La splendeur de l’Évangile de la gloire de Christ (2 Corinthiens 4.4) rayonne continuellement. Sans se lasser, Jésus-Christ, l'étoile brillante du matin (Apocalypse 22.16), attire tous les hommes à Lui (Jean 12.32). Fidèlement, Il les guide sur le sentier béni de la vie et de l'abondance (Jean 10.10).
Dans ce monde froid et impitoyable, le Sauveur offre une douce et chaleureuse étreinte aux hommes perdus, celle de Ses bras. Les mages ne s'y sont pas trompés, ils se sont réjouis de la présence du Fils et leur cœur en a été pleinement comblé.
Dès cet instant, il appartient à chacun de faire la même expérience! C'est le véritable cadeau! C'est la véritable joie! C'est la véritable lumière! PRENEZ UN PEU DE VOTRE TEMPS POUR PENSER UN PEU AU SEIGNEUR QUI VOUS A SAUVER D’UNE MORT ÉTERNELLE. Pour plusieurs il est certain que Jésus n'est pas né en ce jour, car les bergers en hiver ne sont plus là. Il n'y a plus de brebis dans les champs à garder, le grand froid est venu. Mais il est bon se souvenir de ce que Jésus a fait pour nous et comment il est venu parmis-nous. La majorité, pensent un peu, à cet évènement la journée du 24 ou 25 décembre, mais le chrétien véritable il pensera tout l'année durant.
Luc 2:8 Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux.
Luc 2:15 Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres : Allons jusqu’à Bethléhem, et voyons ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître.
Luc 2:18 Tous ceux qui les entendirent furent dans l’étonnement de ce que leur disaient les bergers.
Luc 2:20 Et les bergers s’en retournèrent, glorifiant et louant Dieu pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu, et qui était conforme à ce qui leur avait été annoncé.
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