Le pardon des péchés, selon la richesse de sa grâce

27/11/2013 06:29

Le pardon des péchés, selon la richesse de sa grâce, {#Ep 1:7}

Peut-il y avoir un mot plus doux dans n’importe quelle langue que ce mot de « pardon, » lorsqu’il résonne à l’oreille d’un pécheur, comme les notes de la trompette d’argent du jubilé arrivent au captif Israélite ? Bénie, qu’elle soit à jamais bénie cette étoile du pardon qui brille dans la cellule du condamné, et qui donne à celui qui périt une lueur d’espérance au milieu de la nuit du désespoir ! Peut-il être possible qu’un péché, tel qu’un péché comme le mien, puisse être pardonné, entièrement pardonné, et à jamais ? L’enfer est ma part comme pécheur, il n’y a aucune possibilité d’en échapper tant que le péché reste sur moi. La charge de la culpabilité peut-elle disparaitre, la tache cramoisie peut-elle être effacée ? Les pierres de ma prison peuvent-elles être descellées, est-ce que les portes peuvent en être sorties de leurs gonds ? Jésus me dit que je peux être tranquille. Qu’â jamais soit bénie la révélation de l’amour expiatoire qui non seulement me dit que le pardon est possible, mais qu’il est assuré à tous ceux qui s’appuient sur Jésus. J’ai cru en la propitiation, et en Jésus crucifié, et donc mes péchés sont à ce moment, et à jamais, pardonnés en raison de ses douleurs de substitution et de sa mort. Quelle joie cela est pour moi ! Quelle béatitude que d’être une âme parfaitement pardonnée ! Mon âme consacre tous ses pouvoirs à celui qui par son propre amour inestimable est devenu mon garant, et m’a apporté la rédemption au travers de son sang. Quelle richesse de grâce le pardon gratuit nous expose ! Pardonner tout, pardonner complètement, pardonner librement, pardonner à jamais ! Il y a là une constellation d’émerveillements ; et quand je pense à l’énormité de ce qu’étaient mes péchés, à la valeur des gouttes qui m’en ont purifié, à la grâce de la méthode par laquelle le pardon me fut assuré, je suis dans un labyrinthe d’étonnement et d’adoration. Je me prosterne devant le trône qui m’absout, j’agrafe la croix qui me délivre, je sers désormais chaque jour le Dieu incarné, au travers de qui je suis cette nuit une âme pardonnée.

 

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