Pendant mes 48 ans en tant que catholique et mes 22 ans comme prêtre catholique, je croyais en l’Eglise catholique. Par conséquent, je pensais que, comme j’avais les Sacrements qui en étaient les moyens, quand je mourrais, j’aurais la vie éternelle. Comme d’autres prêtres, j’enseignais les gens que, parce qu’ils avaient été fidèles à l’Eglise en tant que catholiques et qu’ils mouraient dans l’état de « la grâce qui sanctifie », ils iraient au ciel. Avec un profond respect pour ceux qui ont été tellement trompés, j’écris maintenant sur le sujet des catholiques et de la vie éternelle. En tant que catholique irlandais, je me rappelle l’emprise que le Catholicisme avait sur mon âme ; dans un sens, c’était une seconde nature pour moi. Donc c’est avec sensibilité que j’écris sur une relation chrétienne avec Dieu le Père et une relation catholique avec le ‘Saint-Père’ de Rome.
Une relation chrétienne avec Dieu le Père est un sujet crucial. Jésus Christ a déclaré, « Or, la vie éternelle, c’est qu’ils Te connaissent, Toi, le seul vrai Dieu, et Celui que Tu as envoyé, Jésus Christ. » (Jean 17 :3) Ne pas connaitre et croire au « seul vrai Dieu », c’est être privé de la « vie éternelle. » Cependant, on demande en premier à un catholique de croire et de savoir que « l’Eglise est la mère de tous les croyants. » C’est parce que, selon l’enseignement officiel de l’Eglise catholique, « ‘Croire’ est un acte ecclésial. La foi de l’Eglise précède, engendre, soutient et nourrit notre foi. L’Eglise est la mère de tous les croyants. ‘Personne ne peut avoir Dieu comme Père s’il n’a pas l’Eglise comme Mère.’ » (Para 181, Catéchisme de l’Eglise catholique, 2ème édition)
Par conséquent, un catholique, dans la vie de tous les jours, volontairement, a une relation avec « l’Eglise comme Mère », remplaçant ce qui devrait être une relation avec Dieu comme Père adoptif. L’essence de cette substitution est évidente quand un catholique dévoué fait référence au Pape comme au « Saint-Père ». En fait, l’agence d’informations catholiques, Zenit, appelle d’habitude le Pape, le « Saint-Père ». Par exemple, « Le Saint-Père a reçu… » (https:// www.zenit.org/en/articles/all-this-must-not-be-taken-for-granted-says-joly-father 8/9/2014.) Et pour la plupart des catholiques, le terme « le Saint-Père » signifie habituellement le Pape.
Le concept de Dieu comme Père
Il est noté que, dans l’Ecriture, le mot « Père » était sur les lèvres du Seigneur Jésus Christ pas moins de 170 fois. Le Christ Jésus a parlé de Dieu de manière distinctive comme Abba Père. (Marc 14 :36) Dans l’Ecriture, le même concept, « Abba Père », est expliqué au croyant par ces mots, « Et vous n’avez point reçu un esprit de servitude pour être encore dans la crainte ; mais vous avez reçu un Esprit d’adoption, par lequel nous crions : Abba ! Père ! L’Esprit Lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. » (Romains 8 :15-16) Regarder l’amour du Père par le titre intime de « Abba Père » donne au vrai croyant le sentiment profond d’être aimé personnellement comme enfant de Dieu. (2 Corinthiens 6 :18) Le Seigneur Jésus Christ a offert la prière suivante à tous ceux qui croiraient sincèrement en Dieu comme leur Père, « Père Saint, garde-les en Ton nom que Tu m’as donné, afin qu’ils soient un comme nous. » (Jean 17 :11)
Par contraste, la loi officielle de l’Eglise catholique romaine parle de la nécessité de soumettre nos plus hautes capacités, celles de l’esprit et de la volonté, non à Dieu le Père céleste, mais au Souverain Pontife à Rome. Ainsi, la loi de l’Eglise catholique romaine déclare, « Un respect religieux de l’intellect et de la volonté, même si ce n’est pas par l’assentiment de la foi, doit être rendu à l’enseignement que le Souverain Pontife et le collège des évêques énoncent sur la foi et la morale… » (Canon 752)
Cependant, le Seigneur Jésus Christ a commandé, « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. » (Matthieu 22 :37) Nous ne pouvons pas servir deux souverains, car le commandement du Seigneur contredit celui du Pontife. Un homme ne peut pas être impartial entre deux maitres qui sont incompatibles et qui demandent une allégeance totale. La nécessité d’un choix se présente. Donc un catholique devrait décider qui en fait est son seigneur !
De plus, comme le Seigneur Jésus Christ est très profondément attaché au mot « Père », Il a donné ce commandement, « Et n’appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, Celui qui est dans les cieux. » (Matthieu 23 :9) Voici l’essence du message du Seigneur concernant notre Père dans les cieux. Ainsi, le Père dans les cieux est digne d’adoration, et un vrai croyant exprimera les mots, « Le Saint Père » pour Dieu seul ! Néanmoins, l’Eglise de Rome enseigne que son pape est appelé « Saint Père ». Par exemple, le site du Vatican a annoncé concernant François 1er, « Message du Saint Père » dans les jardins du Vatican, le dimanche 8 juin 2014.
L’Eternel Dieu est souverain
Dieu est amour, omniscient, omnipotent et omniprésent. L’Eternel Dieu est souverain avec un pouvoir complet, suprême et universel sur toutes choses, dans les cieux et sur la terre. Même sur le sujet de la souveraineté de Dieu, l’affirmation de la Rome papale est formulée par les paroles officielles suivantes, « Car le Pontife romain, en raison de son poste de Vicaire de Christ, et comme pasteur de toute l’Eglise a le pouvoir total, suprême et universel sur toute l’Eglise, un pouvoir qu’il peut toujours exercer sans entraves. » (Catéchisme, Para. 882)
Ainsi, le Pontife romain s’attribue la gouvernance souveraine de toute l’Eglise qui appartient à l’Eternel Dieu seul. Ne nous trompons pas, l’Eglise catholique, tout au long de son histoire, s’est de manière persistance et arrogante, arrogée er appropriée les fonctions du Père céleste. Par exemple, le Pape Boniface VIII en 1302, dans la Bulle papale « Unam Sanctam » a décrété, « De plus, nous déclarons, disons, définissons, et proclamons à toute créature humaine qu’elle doit, par nécessité pour le salut, être entièrement soumise au Pontife romain. » (Henry Denzinger, Enchiridion Symbolorum, The sources of catholic dogma, 1984, #469) L’arrogance papale est le blasphème le pus élevé !
L’amour de Dieu le Père dans le salut
L’amour de Dieu le Père accomplit ses desseins, « L’amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé Son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par Lui. Et cet amour…, mais en ce qu’Il nous a aimés et a envoyé Son Fils unique comme victime expiatoire pour nos péchés. » (1 Jean 4 :9-10) Le plan et l’intention de Dieu le Père était que le salut devrait venir à l’homme pécheur en et par Christ Jésus. Clairement, la grâce dans son sens le plus correct est gratuite, comme donnée, un don du ciel. Ainsi, comme le dit l’Ecriture, les pécheurs sont sauvés par grâce ; c’est « …le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. » (Ephésiens 2 :8-9) Le règne du péché est vaincu par le règne de la grâce de Dieu, comme le dit l’Ecriture, « …afin que la grâce règne ». (Romains 5 :21) L’abondance de la grâce surpasse de loin le mal du péché. Une fois qu’un pécheur croyant met sa foi en Christ Jésus comme étant sa seule sécurité et son seul substitut, il découvre que non seulement il est libéré de ses péchés, mais il est aussi fait pour « régner dans la vie. » Comme l’Ecriture l’affirme, « Si par l’offense d’un seul la mort a régné par lui-seul, à plus forte raison ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce et du don de la justice règneront-ils dans la vie par Jésus Christ Lui seul. » (Romains 5 :17)
Essayant d’imiter ça, l’Eglise catholique romaine affirme que ses sacrements sont nécessaires au salut. Son enseignement officiel déclare ce qui suit, « L’Eglise affirme que pour les croyants, les sacrements de la Nouvelle Alliance sont nécessaires au salut. » (Catéchisme, Para. 1129) Ainsi, l’Eglise catholique présente ses sept sacrements physiques – obtenus par la médiation de l’Eglise catholique – comme les moyens d’obtenir la grâce du Saint-Esprit. « Les sacrements confèrent la grâce, mais, en plus, l’acte même de les célébrer prépare le fidèle plus efficacement à recevoir cette grâce d’une manière fructueuse, pour adorer Dieu d’une manière juste, et de pratiquer la charité. » (Voir : https://www.catholic.org/prayers.sacrement.php) La prétention du Vatican est de présenter ses sacrements symboliques comme la cause efficace du salut. Ces manières séduisantes d’obtenir le salut ne sont que la tentation antique de regarder les performances physiques et les œuvres humaines pour gagner la faveur de Dieu. De tels enseignements tombent sous la malédiction éternelle d’avoir perverti l’Evangile de Christ. « …si quelqu’un vous annonce un évangile s’écartant de celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème. » (Galates 1 :9) Néanmoins, pour administrer ses sept sacrements, l’Eglise catholique ordonne des prêtres de qui elle affirme, « Les prêtres ont reçu de Dieu un pouvoir qu’Il n’a donné ni aux anges, ni aux archanges… Dieu là-haut confirme ce que les prêtres font ici bas. » (Catéchisme, Para. 983, sub-para. 3) Dans le Nouveau Testament, aucun prêtre sacrificiel n’est mentionné, seulement les anciens et les pasteurs. (Les termes évêques et ancien/pasteur sont utilisés de façon interchangeable, Actes 20 :17, 28 ; 1 Pierre 5 :1-4.)
Ainsi, le système de croyance de l’Eglise catholique fait par l’homme est une charge sur les âmes des hommes et des femmes. Cependant, le vrai Evangile met devant chaque personne la solution qui est suffisante pour affronter tout mal. Sa puissance est suffisamment forte pour ramener des gens à la vie, la paix et le ciel même. Le même Evangile fait que le peuple racheté du Seigneur se réjouit dans la grâce glorieuse qui coule de Son plan de vie éternelle. « Et voici ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans Son Fils. » (1 Jean 5 :11) Le Fils éternel du Père a la vie dans Son essence et Sa personne comme étant la Parole de Dieu. (Jean 1 :1-4) De Lui, la vie éternelle est donnée à tout vrai croyant, à la fois ici et dans les cieux. (Jean 1 :12-13) Cependant, l’Eglise catholique enseigne que la grâce de Dieu vient par les sacrements catholiques romains. (https://www.adelaide.catholic.org.au/our-faith/sacrements) Quiconque qui croit au système sacramentel catholique et place la confiance de son âme sur les actes cérémoniels ne croit pas en Jésus Christ seul.
Un catholique croit dans la Messe, l’Eucharistie
Au cœur du catholicisme romain se trouve la Messe ou l’Eucharistie, décrite par le concile Vatican 2 comme « la source et le sommet de toute la vie chrétienne. » Rome affirme que la Messe est un sacrifice et que le sacrifice du Calvaire et la Messe sont la même chose ; c’est-à-dire, « un seul sacrifice. » Ainsi elle enseigne, « Le sacrifice de Christ et le sacrifice de l’Eucharistie sont un seul et même sacrifice : ‘La victime est une et la même : le même maintenant s’offre par l’intermédiaire du ministère des prêtres, qui alors s’est offert Lui-même sur la croix ; seul la manière d’offrir est différente.’ ‘Et depuis, dans ce divin sacrifice qui est célébré dans la messe, le même Christ qui s’est offert Lui-même une fois d’une manière sanglante sur l’autel de la croix est contenu et offert d’une manière non-sanglante… ce sacrifice et réellement propitiatoire.’ » (Catéchisme, Para. 1367)
Proposer un sacrifice sans effusion de sang est une contradiction dans les termes. (Hébreux 9 :21 « …sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon. ») Un sacrifice sans effusion de sang est une contradiction absurde qui ne peut avoir d’autre but que celui de tromper. Le Repas du Seigneur n’est pas un sacrifice ; c’est un mémorial. Le pain et le vin sont des signes symbolisant le corps et le sang du sacrifice accompli une fois pour toute au Calvaire. Un vrai croyant mange le pain et boit le vin pour se rappeler de Lui et de Son expiation avec des actions de grâce et des louanges jusqu’à ce qu’Il revienne. A nouveau, quelle relation différente il y a dans la foi d’un vrai croyant considérant le Repas du Seigneur et la croyance d’un catholique considérant la Messe ou l’Eucharistie ! Il ne peut plus y avoir de rappel du péché envers un vrai croyant, soit pour lui faire honte, soit pour l’accuser dans l’au-delà. Le sacrifice de Christ a été accompli une fois pour toutes les époques. Sa puissance est éternelle. « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Christ Jésus. » (Romains 8 :1) Jésus Christ le Seigneur a procuré un salut parfait et éternel pour celui qui croit réellement en Son sacrifice accompli. Pas du tout pour le pauvre catholique qui persiste à dépendre d’un soi-disant, « sacrifice divin qui est célébré dans la Messe. »
Un catholique prie non à Christ Jésus seul mais aussi à Marie et aux Saints
Un vrai croyant regarde Christ Jésus comme le seul médiateur, « Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul Médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus Christ homme… » (1 Timothée 2 :5) La splendeur de l’Evangile est que le cœur du croyant est fixé sur Jésus Christ, la fontaine de vie. Un catholique, cependant, priera aussi Marie et ses Saints déclarés. C’est parce que l’Eglise catholique enseigne officiellement, « La communion avec les morts. Dans la pleine conscience de cette communion de tout le corps mystique de Jésus Christ, l’Eglise dans ses membres pèlerins, dés les premiers jours de la religion chrétienne, a honoré avec un grand respect la mémoire des morts… Notre prière pour eux est capable non seulement de ‘ les aider, mais aussi de rendre leur intercession pour nous efficace.’ » (Catéchisme, Para. 958)
La Bible enseigne que Dieu seul est infini, éternel et immuable dans Son être, Sa sagesse, Sa puissance, Sa sainteté, Sa justice, Sa bonté et Sa vérité. Ainsi, Lui seul entend les prières, Il est le seul Saint ; en un mot, Il est Dieu seul. La prière dirigée vers les morts, et non vers l’Eternel Dieu seul, est un blasphème total ! Appeler ou invoquer les morts, la nécromancie, est strictement interdite dans la Bible. (Deutéronome 18 :9-11) En tant que seul vrai Grand prêtre, Jésus Christ satisfait complètement tout le service de prière d’intercession dont un vrai croyant a besoin ; comme l’affirme l’Ecriture, « Christ est mort ; bien plus, Il est ressuscité, Il est à la droite de Dieu, et Il intercède pour nous. » (Romains 8 :34) A nouveau, un pauvre catholique trompé qui persiste à suivre la tradition catholique romaine de prière aux morts, ou l’invocation des morts, n’a aucune garantie d’être entendue par Dieu le Père. L’Ecriture affirme que, en cherchant d’autres médiateurs, les catholiques rejettent l’office de rédemption unique du Seigneur Jésus Christ qui est le seul et unique médiateur de l’alliance de la grâce nommé par le Saint Père. (Hébreux 9 :24)
Conclusion
Dans l’Ecriture, le croyant regarde Jésus Christ comme « LE SEIGNEUR NOTRE JUSTICE. » (Jérémie 23 :6) La splendeur de l’Evangile est que le cœur du croyant est fixé sur Christ, la Fontaine de vie, où le croyant boit de plus en plus profondément dans les rivières de plaisir qui sont à la droite de Christ. La vie éternelle ne doit se trouver qu’en Christ Jésus, Sa vie parfaite, et en Lui qui est le sacrifice pleinement suffisant. « Nous tous dont le visage découvert reflète la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, par l’Esprit du Seigneur. » (2 Corinthiens 3 :18) C’est le vrai point central, parce qu’un croyant apprend de plus en plus réellement à toujours regarder le Seigneur Jésus Christ seul pour la vie. A quel point c’est complètement différent du but et de la destinée que la Rome papale présente au peuple ! Rome dirige son peuple, et l’humanité en général, à regarder les sacrements physiques et sa hiérarchie dirigeante qui maintient ses sacrements. Cependant, l’Evangile biblique n’implique pas de regarder des signes physiques ; au contraire, les croyants doivent suivre l’injonction biblique de regarder « …Jésus, qui suscite la foi et la mène à la perfection ; en échange de la joie qui Lui était réservée, Il a souffert la croix, méprisé l’ignominie, et s’est assis à la droite du trône de Dieu. » (Hébreux 12 :2) Il est l’auteur de leur foi et Celui qui l’amène à la perfection : son commencement et sa fin. « Regarder à Jésus », c’est garder avec confiance son cœur et son esprit posés sur Lui. En Lui se trouve la grâce. Il est la Fontaine de toute grâce et répond à tous les besoins de tout croyant. La vie du croyant est tirée de Christ, et dirigée vers Lui ; Il en est son principe initial et sa fin. La vraie vie est celle qui est vécue dans la communion personnelle et intime avec Christ, comme l’a déclaré de manière si éloquente l’apôtre Paul, « Car pour moi, vivre c’est Christ. » Cela signifie que, comme une personne est justifiée par le Dieu Saint seul, elle doit marcher avec le Seigneur Jésus Christ, en prenant le joug de Christ sur elle et en apprenant de Christ, afin qu’elle boive profondément de la Parole Ecrite de Dieu et commence à suivre ce que l’Ecriture dit, plutôt qu’en imaginant ses propres voies.
Le Seigneur a fait face aux Pharisiens sincères et dévots avec une parole très dure. Ils regardaient leur responsable et chef, Caïphe, le Grand prêtre. Le Seigneur a dit aux Pharisiens, « car si vous ne croyez pas ce que Je suis, vous mourrez dans vos péchés. » (Jean 8 :24) Comme les Pharisiens, beaucoup de catholiques de notre époque regardent le Pape. Et de même aujourd’hui, comme avec les Pharisiens, si un catholique continue à reconnaitre le Pape comme « Saint Père », il nie en fait le vrai Père et le vrai Fils. (1 Jean 2 :22, « Celui-là est l’antéchrist, qui nie le Père et le Fils. ») Celui qui persiste dans ses péchés, de même, mourra dans ses péchés. Le Seigneur Jésus Christ est mort à la place du vrai croyant. Sa vie et Son sacrifice accompli seuls sont la rançon du vrai croyant. « Car le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de beaucoup. » (Marc 10 :45) C’était le prix demandé par le Dieu très Saint afin que Sa justice puisse être satisfaite dans le pardon des péchés. Comme résultat de ce paiement, le vrai croyant en Christ Jésus seul est libéré pour toujours du péché et de Satan. « Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. » (Romains 6 :23) « C’est de Lui, par Lui, et pour Lui que sont toutes choses. A Lui la gloire dans tous les siècles ! Amen ! » (Romains 11 :36)
Par Richard Bennett – https://www.bereanbeacon.org