Les idoles …???
Depuis que le monde est monde dans son péché, que les idoles font foi d`adoration. Pourtant la Loi de Dieu est très claire sur ce sujet.
Exode 20:4 Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Donc lorsque je vois certains sites internet arborant des images de Dieu, Christ ou l`Esprit-Saint, les poils me lèvent sur les bras. Aussi sur facebook il y a plein de ces images interdites. Et on ose se dire CHRÉTIENS…. Ne lisez-vous donc pas la bible???
Voici tous les versets ou la parole de Dieu dans la bible parle des idoles.
et autre article
Deutéronome 4:25 Lorsque tu auras des enfants, et des enfants de tes enfants, et que vous serez depuis longtemps dans le pays, si vous vous corrompez, si vous faites des images taillées, des représentations de quoi que ce soit, si vous faites ce qui est mal aux yeux de l’Eternel, votre Dieu, pour l’irriter, 26 j’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre, — vous disparaîtrez par une mort rapide du pays dont vous allez prendre possession au-delà du Jourdain, vous n’y prolongerez pas vos jours, car vous serez entièrement détruits.
Ce n`est pas que pour les juifs, cette condamnation
Idole : image. Représentation par l’image, la sculpture, ou un autre moyen, d’une personne ou d’un animal, afin d’en faire soit un objet d’adoration soit l’habitat d’une divinité (#Ex 20:4,5,23 ; #Jug 17:3 ; #1S 5:3,4 ; #Ro 1:23). On fabriquait des idoles d’argent, d’or (#Ps 115:4; 135:15), de bois, ou d’autres matières (#Esa 44:13-17). Les idoles de métal se faisaient en coulant dans un moule le métal en fusion, auquel cas on les appelait statues, ou images de métal fondu. Des idoles d’un autre genre se façonnaient au ciseau en sculptant du bois que l’on revêtait de feuilles de métaux. De bois ou de pierre, ces représentations, travaillées avec des instruments tranchants, sont appelées images taillées, ou idoles sculptées. Ésaïe et Jérémie en ont décrit la fabrication (#Esa 40:19,20; 44:9-20 ; #Jér 10:9). Des statuettes représentaient entre autres les dieux domestiques, nommés téraphim (#Ge 31:34; 35:1-4). Certaines idoles avaient les dimensions d’un être humain (#1S 19:16). D’autres, semblables à celle que Neboukadnetsar éleva dans la plaine de Dara, étaient colossales (#Da 3:1).
Au IVe siècle après Jésus-Christ au moment où les païens entraient en foule dans l’Église, on introduisit des images dans quelques édifices chrétiens, mais seulement, disait-on, pour les orner et instruire le peuple. En 736, Léon l’Isaurien, empereur d’Orient promulgua des édits contre les images. En 780, l’impératrice Irène réintroduisit leur culte dans l’Église d’Orient ce que ratifia en 787 le 2e concile de Nicée.
L’Église romaine encourage également le culte des statues et représentations du Christ, de la Vierge et des saints ; elle le justifie en disant qu’on honore ces derniers, tandis qu’on n’adore que Dieu et son divin Fils. Pourtant, la loi de Moïse défendait absolument de faire aucune représentation qui pût servir au culte, aucune image d’un homme, d’une femme, ou d’un être quelconque (#De 4:15-18,23-24). Le 2e commandement du décalogue, l’un des plus longs et des plus solennels (#De 5:7-10), insiste sur la défense de servir les images et de se prosterner devant elles : il est donc interdit de les élever sur des autels, de s’agenouiller et de brûler des cierges devant elles, de leur adresser des prières, de les porter en procession. L’Éternel est un Dieu jaloux, qui réclame exclusivement notre adoration et notre culte ; il punit jusqu’à la 4e génération ceux qui transgressent cet ordre formel. Les Israélites s’étant mis à brûler du parfum devant le serpent d’airain fait par Moïse, le roi Ézéchias le détruisit pour couper court à cette idolâtrie (#2R 18:4). Le Nouveau Testament indique les raisons spirituelles de pareilles interdictions : d’abord, Christ est notre unique médiateur et intercesseur tout puissant, et c’est l’offenser que de s’adresser à des créatures autant, si ce n’est plus, qu’à lui (#Ac 4:12 ; #Ro 8:31-34 ; #1Ti 2:5 ; #Hé 7:24-25; 9:24). D’autre part, s’il est évident qu’une statue n’est rien qu’un peu de marbre, de métal ou de plâtre, pour Paul, le culte rendu à l’idole est en réalité offert aux démons (#1Co 10:19-22). Cette parole peut sembler terriblement dure ; il est cependant clair qu’un acte religieux défendu ne peut profiter qu’à l’ennemi. Enfin, la Vierge et les « saints » représentés par les statues sont des morts, non encore ressuscités (#Jn 6:40 ; #1Co 15:22-23). Or l’Ancien Testament interdisait sous peine d’anathème et même de mort de chercher aucun contact avec les défunts, fussent-ils croyants (#Lé 20:6,27 ; #De 18:10-14 ; #1S 28:3-19 ; #1Ch 10:13-14 ; #Esa 8:19-20).
Sur le plan spirituel, l’idole peut évidemment être encore toute personne ou toute chose qui dans notre cœur prend la place de Dieu. L’amour de l’argent, l’avarice, la convoitise, la gloutonnerie sont des formes de l’idolâtrie (#Mt 6:24 ; #Lu 16:13 ; #Ro 16:18 ; #Ep 5:5 ; #Col 3:5 ; #Ph 3:19 ; #2Ti 3:4). Les hommes du XXe siècle pensent être plus raffinés que ceux de l’antiquité, mais ils ne sont pas moins idolâtres : les dieux qu’ils servent sont encore Mamon, Vénus, le Sport, l’État, la Puissance, le Moi, qui mettent à la place du Créateur la créature, avec son orgueil et son appétit insatiable de jouissances (#Ro 1:25). Fuyons donc les idoles et toute idolâtrie, extérieure ou intérieure (#1Co 10:7 ; #Ro 2:22 ; #1Jn 5:21). Le seul moyen de le faire sera d’aimer de tout notre cœur, de toute notre force et de toute notre pensée le Dieu merveilleux et unique, qui réclame entièrement notre culte en Esprit et en vérité (#Jn 4:23-24).
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