Nul autre Nom
31/01/2020 00:48Nul autre Nom
"Actes des Apôtres 4 : 12 "Et il n'y a de salut en aucun autre; car sous le ciel il n'y a pas un autre nom, qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés.")!
Non, le salut n'est pas affaire d'argent (Aggée 2.8), ni d'oeuvre (Esaïe 64.6), ni même de personnes. Aucun homme même pasteur ou prophète, aucune institution, aucun ange ni aucun saint ne peut assurer le salut à une âme perdue, même pas Marie. C'est sûr, les perfides qui le promettent mentent et trompent ignoblement les malheureux qui les écoutent (Matthieu 15.14). Ceux-là prétendent détenir un pouvoir dont Dieu seul dispose (Jacques 4.12).
Le péché de l'homme le sépare de Dieu (Esaïe 59.2). Toutes les tentatives du pécheur pour combler le gouffre ne peuvent que se solder par des échecs (Galates 2.16). Ses nombreux efforts l'épuisent, mais c'est en vain: les tâches noires sur sa robe blanche demeurent toujours. Quoi qu'il fasse, son iniquité ne s'efface jamais (Jérémie 2.22), elle est comme gravée sur son cœur (Jérémie 17.1). C'est une évidence, le salut vient de l’Éternel (Psaumes 3.9). S'Il ne consent à faire grâce, il ne reste aucun espoir.
Or, bonne nouvelle s'il en est, la grâce de Dieu salutaire à tous les hommes a été manifestée (Tite 2.11). On pensait le cas de l'homme désespéré, mais c'était sans compter sur le Dieu qui rend toutes choses possibles (Marc 10.27)! Le Fils de Dieu (Marc 1.1) est venu éponger la dette des pécheurs repentants (1 Jean 2.2). Son sacrifice sanglant à la croix (Philippiens 2.8) a satisfait la justice de Dieu, aucun autre.
Aujourd'hui, le précieux Nom de Jésus-Christ est moqué, raillé, tourné en dérision. On Lui préfère toutes sortes de vanité, de religiosité, et autres maîtres à penser censés mener au ciel. Ce ne sont qu'autant d'impasses mortelles. Ceci n'a certes rien d'étonnant. L'adversaire sait fort bien que Jésus-Christ EST le Nom qui sauve (Matthieu 1.21), qui libère (Jean 8.36), qui délivre des griffes ténébreuses du malin (Colossiens 1.13). Aussi n'a-t-il de cesse de voiler le glorieux Évangile de Christ aux yeux des incrédules (2 Corinthiens 4.4) de peur de perdre son emprise sur eux.
A présent, l'homme ferait bien d'écouter la voix de la sagesse incarnée: "Je suis le Chemin, la Vérité, et la Vie; nul ne vient au Père que par Moi" (Jean 14.6). Il n'y a de salut en aucun autre (Actes 4.12). Si quelqu'un s'entête pourtant à refuser la main tendue, si quelqu'un refuse opiniâtrement de reconnaître que Jésus-Christ est le seul Médiateur entre Dieu et les hommes (1 Timothée 2.5), alors la cause est perdue; il ne reste plus de sacrifice pour le péché (Hébreux 10.26).
Pourquoi mourrions-nous ? Repentons-nous, croyons (Marc 1.15) et vivons (Jean 10.10)!
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