Parallèles entre l`histoire d`Israël et l`histoire de l`Église LE MÉLANGE 3 DE 7

07/06/2015 18:18

Parallèles entre l`histoire d`Israël et l`histoire de l`Église 3 DE 7

Lettre à Pergame

 

Dans les plaines de Moab

Israël dans l`idolâtrie et la corruption – la doctrine de Balaam.

Nombres 25  1 ¶  Israël demeurait à Sittim ; et le peuple commença à se livrer à la débauche avec les filles de Moab.

2  Elles invitèrent le peuple aux sacrifices de leurs dieux ; et le peuple mangea, et se prosterna devant leurs dieux.

3  Israël s’attacha à Baal-Peor, et la colère de l’Éternel s’enflamma contre Israël.

4  L’Éternel dit à Moïse : Assemble tous les chefs du peuple, et fais pendre les coupables devant l’Éternel en face du soleil, afin que la colère ardente de l’Éternel se détourne d’Israël.

5  Moïse dit aux juges d’Israël: Que chacun de vous tue ceux de ses gens qui se sont attachés à Baal-Peor.

6 ¶  Et voici, un homme des enfants d’Israël vint et amena vers ses frères une Madianite, sous les yeux de Moïse et sous les yeux de toute l’assemblée des enfants d’Israël, tandis qu’ils pleuraient à l’entrée de la tente d’assignation.

7  A cette vue, Phinées, fils d’Eléazar, fils du sacrificateur Aaron, se leva du milieu de l’assemblée, et prit une lance, dans sa main.

8  Il suivit l’homme d’Israël dans sa tente, et il les perça tous les deux, l’homme d’Israël, puis la femme, par le bas-ventre. Et la plaie s’arrêta parmi les enfants d’Israël.

9  Il y en eut vingt-quatre mille qui moururent de la plaie.

10  L’Éternel parla à Moïse, et dit:

11  Phinées, fils d’Eléazar, fils du sacrificateur Aaron, a détourné ma fureur de dessus les enfants d’Israël, parce qu’il a été animé de mon zèle au milieu d’eux ; et je n’ai point, dans ma colère, consumé les enfants d’Israël.

12  C’est pourquoi tu diras que je traite avec lui une alliance de paix.

13  Ce sera pour lui et pour sa postérité après lui l’alliance d’un sacerdoce perpétuel, parce qu’il a été zélé pour son Dieu, et qu’il a fait l’expiation pour les enfants d’Israël.

14  L’homme d’Israël, qui fut tué avec la Madianite, s’appelait Zimri, fils de Salu ; il était chef d’une maison paternelle des Siméonites.

15  La femme qui fut tuée, la Madianite, s’appelait Cozbi, fille de Tsur, chef des peuplades issues d’une maison paternelle en Madian.

16 ¶  L’Éternel parla à Moïse, et dit:

17  Traite les Madianites en ennemis, et tuez-les ;

18  car ils se sont montrés vos ennemis, en vous séduisant par leurs ruses, dans l’affaire de Peor, et dans l’affaire de Cozbi, fille d’un chef de Madian, leur sœur, tuée le jour de la plaie qui eut lieu à l’occasion de Peor.

Note de John Macarthur

25:1

Sittim. Ou « vallée des acacias ». Région située près du Jourdain, vis-à-vis de Jéricho, d’où Israël partit plus tard à la conquête de Canaan (cf. #Jos 2:1).

25:1-18 Avant de conquérir Canaan, Israël connut une fois de plus l’échec dans les plaines de Moab. Selon 31:16, les conseils de Balaam en furent la cause: ne parvenant pas à maudire Israël, il avait indiqué aux Moabites et aux Madianites comment provoquer la colère de l’Éternel contre son propre peuple.

25:3

s’attacha à Baal-Peor. Les Israélites se livrèrent à des actes d’immoralité sexuelle avec les femmes de Moab. Comme ces actes faisaient partie de leur culte païen, ils s’associèrent ainsi à des pratiques idolâtriques et s’unirent au faux dieu des Moabites et des Madianites, connu sous le nom de Baal-Peor, violant ainsi le premier des dix commandements.

25:6 Cf. vv. #No 25:14-15.

25:9

vingt-quatre mille. Cette plaie est différente de celle du veau d’or où 23 000 personnes moururent (cf. #Ex 32:1-14, #Ex 32:28 ; #1Co 10:8).

25:10-13 En raison de son zèle pour la sainteté de l’Éternel, Phinées fut au bénéfice de « l’alliance d’un sacerdoce perpétuel ». Cela signifiait que tous les souverains sacrificateurs légitimes à venir seraient issus de sa descendance (cf. #Ps 106:30-31). A mon sens, cette promesse est valable pour le millénium (cf. #Ez 40:46 ; #Ez 44:10, #Ez 44:15 ; #Ez 48:11).

25:17

Traite les Madianites en ennemis. Puisque les Madianites avaient causé du tort à Israël par leurs plans de séduction sexuelle et idolâtrique, l’Éternel ordonna à son peuple de les attaquer à son tour. Cette attaque est rapportée en #No 31:1-24.

 

 

 

LE MÉLANGE

Lettre à Pergame

https://www.chercherjesus-christ.com/news/bientot-merci2/

 

Apocalypse 2 : 12 à 17

12 ¶  Ecris à l’ange de l’Église de Pergame : Voici ce que dit celui qui a l’épée aiguë, à deux tranchants:

13  Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Tu retiens mon nom, et tu n’as pas renié ma foi, même aux jours d’Antipas, mon témoin fidèle, qui a été mis à mort chez vous, là où Satan a sa demeure.

14  Mais j’ai quelque chose contre toi, c’est que tu as là des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre une pierre d’achoppement devant les fils d’Israël, pour qu’ils mangeassent des viandes sacrifiées aux idoles et qu’ils se livrassent à l’impudicité.

15  De même, toi aussi, tu as des gens attachés pareillement à la doctrine des Nicolaïtes.

16  Repens-toi donc ; sinon, je viendrai à toi bientôt, et je les combattrai avec l’épée de ma bouche.

17  Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises : A celui qui vaincra je donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc ; et sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, si ce n’est celui qui le reçoit.

Note de John Macarthur

2:12

l’ange. Mot qui signifie littéralement « messagers ». Bien qu’il puisse désigner les anges  comme c’est le cas dans le reste du livre - il ne peut avoir ce sens ici, car les anges ne sont jamais des responsables d’églises. Il est plus vraisemblable que ces messagers soient les anciens les plus importants, les représentants de chacune de ces Églises

Pergame. Pergame signifie littéralement « citadelle ». C’est du nom de cette ville que dérive notre mot « parchemin »; il désigne un support pour l’écriture élaboré à partir de peaux d’animaux et vraisemblablement fabriqué pour la première fois dans cette région. Pergame (aujourd’hui Bergame) se dressait au sommet d’une colline de 300 m de haut, au milieu d’une plaine fertile, environ 30 km à l’intérieur des terres, non loin de la mer Égée. Pendant plus de 250 ans, elle servit de capitale à la province romaine d’Asie Mineure. C’était un centre religieux important pour les cultes païens, notamment ceux d’Athéna, d’Esculape, de Dionysos (ou Bacchus, dieu de la vigne) et de Zeus. Première ville d’Asie à construire un temple dédié à l’empereur (29 av. J.-C.), elle était devenue la capitale de ce culte.

l’épée aiguë, à deux tranchants. Cette lourde épée à deux tranchants évoque le jugement qui atteindra ceux qui attaquent le peuple de Dieu et détruisent son Église.

2:13

le trône de Satan. Pergame était le siège de l’opposition satanique et la base des fausses religions païennes. Sur l’acropole de Pergame avait été érigé un énorme autel en forme de trône dédié à Zeus. De plus, Esculape, le dieu de la médecine, était celui qu’on associait le plus fréquemment à Pergame. Son attribut  le serpent - est encore aujourd’hui symboliquement associé au domaine médical. La célèbre faculté rattachée à son temple mêlait médecine et superstition. On pouvait ainsi prescrire à l’adorateur de laisser des serpents ramper sur lui pendant son sommeil afin qu’ils lui transmettent leur pouvoir guérisseur.

Antipas. Vraisemblablement le pasteur de cette Église.

témoin fidèle. La tradition veut qu’Antipas ait été brûlé vif à l’intérieur d’un taureau en métal. Le mot grec pour « témoin » a donné le français « martyr » en raison du grand nombre de témoins fidèles de Christ qui furent mis à mort.

2:14

doctrine de Balaam. Balaam essaya vainement de prostituer son don prophétique et de maudire Israël en échange de l’argent que lui proposait Balak, roi de Moab. Il imagina alors d’inciter les femmes moabites à séduire des Israélites. Le résultat de ces mariages mixtes fut qu’Israël commit un blasphème en s’associant aux festins idolâtres et à la fornication (pour l’histoire de Balaam, voir #No 22:1-25:2).

des viandes sacrifiées aux idoles. Voir #Ac 15:19-29.

2:15

De même, toi aussi. Les enseignements des Nicolaïtes poussaient les croyants à adopter la même conduite que les intrigues de Balaam.

doctrine des Nicolaïtes. Le même problème existait à Pergame (vv. #Ap 2:12-15). Cette hérésie ressemblait aux enseignements de Balaam (vv. #Ap 2:14-15). Nicolas signifie « vainqueur des peuples ». D’après Irénée, le Nicolas nommé diacre en #Ac 6 était un faux croyant qui aurait sombré plus tard dans l’apostasie et égaré des membres de l’Église grâce au crédit dont il jouissait; tout comme Balaam, il aurait poussé les croyants à l’immoralité et à la méchanceté. Les Nicolaïtes se livraient à l’immoralité et faisaient assaut de tentations sensuelles contre l’Église. Clément d’Alexandrie écrivit qu’ils s’adonnaient aux plaisirs comme des chèvres et ne se refusaient rien. Par leur enseignement erroné, ils pervertissaient le sens de la grâce et remplaçaient la liberté par la licence.

2:17

vaincra. Selon la définition qu’en donne Jean, être chrétien c’est être un vainqueur   cf. vv. #Ap 2:11, #Ap 2:17, #Ap 2:26 ; #Ap 3:5, #Ap 3:12, #Ap 3:21).

manne cachée. Tout comme Israël reçut la manne, Dieu promet de donner aux croyants authentiques le pain spirituel inaccessible aux incroyants: Jésus-Christ (cf. #Jn 6:51).

un caillou blanc. Lorsqu’un athlète venait de remporter un concours, il recevait souvent un caillou blanc qui faisait office de sésame pour la fête organisée en l’honneur des vainqueurs. Il peut s’agir ici du moment où le chrétien recevra son billet d’entrée pour la célébration éternelle de la victoire au ciel.

nom nouveau. Christ adressera un message personnel à ceux qu’il aime, et cela leur servira de laissez-passer pour la gloire éternelle. Ce message sera si personnel que seul son bénéficiaire saura en quoi il consiste.

 

Autres notes

Des sept villes, seule Smyrne subsiste, sous le nom d’Izmir ; elle se trouve à environ soixante-dix kilomètres au nord de l’ancienne ville d’Éphèse, à l’ouest de la Turquie. Des six autres villes, il ne reste que des ruines.

       Christ se présente à cette église comme le premier et le dernier, celui qui était mort et qui est revenu à la vie (voir #Ap 1:17-18).

Du vivant de Jean, l’église de Smyrne avait déjà connu la tribulation. La plupart des habitants de cette ville adoraient l’empereur romain comme un dieu et ils lui avaient construit un grand temple. Comme les chrétiens refusaient de lui offrir un culte, ils étaient persécutés par les autorités et par les soldats romains. Ils trouvaient difficilement un gagne-pain. Leurs magasins et leurs maisons étaient pillés (#Hé 10:34). Ils étaient donc réduits à la pauvreté. Cela ne les empêchait pas d’être riches spirituellement (voir #Mt 6:19-20 ; #Ja 2:5). Les JUIFS de Smyrne aussi s’opposaient aux chrétiens et ils les abreuvaient de calomnies. Jésus les qualifie de faux Juifs qui appartiennent à la synagogue de SATAN ; ils sont serviteurs de Satan, le grand « calomniateur » .

L’église de Smyrne avait surtout besoin d’encouragement et de force pour supporter la persécution. En restant fermes jusqu’au bout, jusqu’à la mort, les chrétiens de la ville recevraient la couronne de vie, autre expression pour la « vie éternelle » (voir #Mr 13: 13 ; #1Co 9:25 ; #1P 5:4). Les dix jours de persécution annoncés par Christ ici ne concernent pas la tribulation qui fondra sur toute l’humanité à la fin du monde (#Ap 3:10), mais une brève période d’épreuves particulièrement difficiles qu’allait traverser l’église de Smyrne.

La seconde mort mentionnée ici est la mort éternelle, la sanction définitive pour tous ceux qui auront fait le mal. Elle est appelée étang de feu dans #Ap 20: 14 et étang brûlant de feu et de soufre dans #Ap 21:8.

Autres notes

 

Après avoir exprimé sa satisfaction à l’église de Pergame, Christ souligne maintenant ses carences. Il lui reproche d’avoir toléré la doctrine de Balaam et de l’avoir laissée entrer dans l’église. Balaam était un prophète de l’Ancien Testament qui avait aidé Balaq, roi de Moab, à résister aux Israélites. Pour affaiblir le peuple d’Israël, Balaam avait trouvé le moyen de faire pécher le peuple. Il avait conseillé à Balaq d’envoyer vers les enfants d’Israël des filles moabites pour inciter le peuple à manger des viandes sacrifiées aux idoles et à se livrer à la débauche sexuelle (#No 25:1-3; 31:15-16). Nous pouvons donc en déduire que la doctrine de Balaam désigne toute doctrine qui pousse les gens à désobéir à Dieu, et à se tourner vers les divinités mensongères et les désirs immoraux du monde.

Autres notes

La parole de Dieu est une « épée », capable de tuer à la fois le péché et les pécheurs. Elle est capable de sévir en tous lieux ; le croyant, cependant, ne doit pas avoir peur de cette épée : il ne peut toutefois se placer sous sa protection, sans une entière obéissance à la Parole.

 

Du fait que notre Seigneur remarque tous les avantages et les opportunités que nous pouvons avoir dans l’accomplissement de notre devoir, là où nous nous trouvons, Il est parfaitement capable de voir également nos tentations et nos découragements.

 

Malgré cette situation d’épreuve, l’église de Pergame n’avait pas renié sa foi, ni par une apostasie manifeste, ni par un rejet du salut offert à la croix. Christ recommande aux membres de cette assemblée, une certaine fermeté, tout en réprouvant leurs échecs et leur culpabilité. Une mauvaise perception de la doctrine de l’Évangile et de la liberté chrétienne était à l’origine de l’amertume qui avait provoqué les mauvaises pratiques de cette église.

 

Le repentir est un devoir, au sein des assemblées, comme dans le cœur de chacun ; ceux qui ont commis un péché ensemble doivent se repentir en commun. Nous trouvons dans ce texte une promesse, en faveur de ceux qui sont « vainqueurs ». Les influences et les consolations de l’Esprit de Christ descendent du ciel vers l’âme, en vue de réconforter cette dernière. Tout cela reste caché aux yeux du monde. Le nouveau nom, mentionné au verset #2:17*, est le nom d’adoption de la personne citée : quand le Saint-Esprit révèle Son action dans l’âme du croyant, le nouveau nom de ce dernier et son rôle véritable ici-bas sont alors parfaitement compris !

Autres notes

Mais le Seigneur est obligé de reprocher à cette Église de permettre à des hommes enseignant des fausses doctrines de demeurer dans l’Assemblée. Certains étaient attachés à la doctrine de Balaam ou à celle des Nicolaïtes. La doctrine de Balaam autorisait la consommation des viandes sacrifiées aux idoles et la débauche. Elle se rapporte aussi au fait de prêcher dans le but de recevoir de l’argent (No 22-25 ; 31).

 

La doctrine des Nicolaïtes n’est pas connue avec certitude. Un grand nombre de commentateurs bibliques pensent qu’il s’agissait de libertins qui enseignaient que sous la grâce les croyants étaient libres de pratiquer l’idolâtrie et la débauche.

 

Toutefois C.I. Scofield associe cette doctrine à la montée du système clérical.

 

C’est la doctrine selon laquelle Dieu a institué un « clergé », ou des prêtres distincts des « laïcs ». Le mot provient de deux mots grecs, niko, qui signifie « conquérant » ou « vainqueur », et laos, « le peuple ». L’Église du N.T. ignorait l’existence d’un clergé et à plus forte raison de prêtres, sauf que dans la dispensation actuelle tous les enfants de Dieu forment « un sacerdoce royal ». Dans l’Église apostolique, il existait différentes fonctions : les anciens (ou évêques) et les diacres ; et divers dons : ceux d’apôtres, de prophètes, d’évangélistes, de pasteurs et docteurs (#Ep 4.11). Ces derniers pouvaient être des anciens ou des diacres. Cependant, plus tard dans la période apostolique, les Nicolaïtes se mettaient à attribuer aux seuls anciens l’autorité d’administrer le baptême et la cène, et à en faire une classe entre Dieu et le peuple. Il est à remarquer que les « œuvres des Nicolaïtes » (2.6) de la fin de l’époque apostolique (représentée par l’Église d’Ephese) devinrent « la doctrine des Nicolaïtes » deux siècles plus tard à l’époque de Constantin (représentée par l’Église de Pergame).

Autres notes

 

Ce que nous savons de la doctrine de Balaam vient de #No 25:1,2; 31:16. Par une doctrine analogue, ces chrétiens en étaient arrivés probablement à mépriser la chair et à diminuer ainsi l’importance de la pureté physique ; ils justifiaient peut-être leurs actions en dénaturant l’enseignement de Paul (ce qu’il réfute dans #Ro 3:8; 6:1) : « Demeurerions-nous dans le péché afin que la grâce se multiplie ? »

Autres notes

L’expression désigne l’enseignement pernicieux que Balaam donna à Balak pour corrompre le peuple qui ne pouvait être maudit, #No 31:15-16; 22:5; 23:8 en l’incitant à s’unir par mariage aux Moabites, #No 25:1-2 à mépriser l’ordre de Dieu quant à la séparation d’Israël d’avec les autres nations, #No 25:3 et à abandonner sa condition  de pèlerin #No 25:1.

De même, quand l’Église s’unit au monde, elle commet un adultère sur le plan spirituel #Ja 4:4.

Les chrétiens de Pergame avaient perdu leur caractère d’« étrangers » et de « voyageurs sur la terre », #1P 2:11 et se complaisaient à « demeurer » là où était « le trône de Satan », #Ap 2:13 sous tutelle du « prince de ce monde » #Jn 12:31; 14:30; 16:11.

 

Jean 16 : 33

Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde ; mais prenez courage, j’ai vaincu le monde.

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