Apocryphes dans Nevi'im
Psaumes de Salomon
L'un des apocryphe livres, le Psaumes de Salomon est un groupe de dix-huit psaumes (chants ou poèmes religieux) écrits au premier ou au deuxième siècle avant notre ère et qui ne font partie d'aucune écriture actuelle canon (ils se trouvent cependant dans des copies du Peshitta et le Septante).[1]
Contenu
1 Nom
2 Historique de la réception
3 Contenu et paternité
4 Voir également
5 Les références
6 Liens externes
Nom
Le 17 des 18 psaumes est similaire à Psaumes 72 qui a été traditionnellement attribué à Salomon, et de là peut être la raison pour laquelle les Psaumes de Salomon portent leur nom. Une théorie alternative est que les psaumes étaient si appréciés que le nom de Salomon leur était attaché pour les empêcher d'être ignorés ou oubliés.
Historique de la réception
Les Psaumes de Salomon ont été référencés dans paléochrétien écrits, mais perdus pour les générations ultérieures jusqu'à grec manuscrit a été redécouvert au 17ème siècle. Il existe actuellement huit manuscrits connus du XIe au XVe siècle d'une traduction grecque d'un hébreu ou araméen original, datant probablement du 1er ou 2ème siècle BCE. Cependant, bien que maintenant une collection, ils étaient à l'origine séparés, écrits par des personnes différentes à des époques différentes.
Contenu et paternité
Politiquement, les Psaumes de Salomon sont anti-Hasmonéen, et certains psaumes de la collection montrent une conscience claire de la romain conquête de Jérusalem sous Pompée en 63 avant notre ère, le traitant métaphoriquement comme un dragon qui avait été envoyé par Dieu pour punir les Hasmonéens. Certains psaumes sont messianiques, en le sens juif (faisant clairement référence à un mortel qui se trouve être assisté de Dieu, un peu comme Moïse), mais la majorité se préoccupe moins du monde en général que du comportement individuel, exprimant la conviction que le repentir pour péchés capitaux les rendra à la faveur de Dieu.
Il y a eu des tentatives de lier le texte à la fois Esséniens de Qumran, qui se sont séparés de ce qu'ils considéraient comme un monde méchant, et alternativement à la Pharisiens en opposition à la Sadducéens qui a généralement soutenu les Maccabées.
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