Quelqu’un veille sur nous
12/01/2021 00:42Quelqu’un veille sur nous
Quelqu’un se soucie de notre sort et de ce qu’il adviendra de nous. Sans doute, nous sommes heureux si nous savons cela. N’est-il pas précieux d’avoir toujours quelqu’un vers qui se tourner ? Quelqu’un en qui se confier et sur qui compter ? C’est une évidence. Qui peut vivre seul dans ce monde tellement inhospitalier ? Qui peut faire face tout seul aux épreuves et aux dangers ? Réalisons-le, notre barque est bien modeste au milieu de la mer déchaînée. Certes, il est bon et réconfortant d’être soutenus dans cette traversée. Bien sûr, nous avons besoin d’un Capitaine, nous avons besoin d’un Conducteur, nous avons besoin d’un Berger ! Livré à soi-même, qui subsistera ? N’est-ce pas parce qu’ils n’ont pas de guide que les hommes se perdent et s’égarent ? Ces malheureux titubent dans le noir et ne peuvent discerner leur droite de leur gauche.
Mais alors, où est Celui qui nous fera voir le bonheur ? Où est Celui qui nous fera voir la lumière ? Consultons les Écritures à ce propos. Que nous enseignent-elles ? Voici, Dieu a donné Son Fils afin que le monde soit sauvé par Lui. Jésus-Christ est le bon Berger. Il est Celui qui nous montre le chemin à emprunter. Quelle aubaine, Son invitation à nous retirer vers Lui et à Le suivre reste encore valable aujourd’hui ! Pourquoi ne pas saisir cette offre si généreuse ? Le Seigneur connaît Ses brebis et chérit chacune d’entre elles. Il conduit fidèlement Son troupeau et met Ses brebis en sûreté. Dans Sa bergerie, plus de peurs ni d’inquiétudes. Aucun risque que les loups ravisseurs viennent nous y ravir ! Certes, il ne peut exister de plus grande consolation pour nos âmes. Indiscutablement, se savoir aimé du Berger n’a pas de prix.
Oui, assurément, nous pouvons le déclarer : « L’Éternel est mon berger ; je n’aurai point de disette. »
Psaume 23.1-3
Cantique de David. L’Eternel est mon berger : je ne manquerai de rien. Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles. Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom. Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent. Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires ; Tu oins d’huile ma tête, Et ma coupe déborde. Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j’habiterai dans la maison de l’Eternel Jusqu’à la fin de mes jours.
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