Qui a le Fils, a la vie!
UN MESSAGE D'AMOUR·
"1 Jean chapitre 5" (verset 13 "Je vous ai écrit ces choses, à vous qui croyez au nom du Fils de Dieu, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, et afin que vous croyiez au nom du Fils de Dieu.")!
Que sert-il de croire? Plus précisément, que sert-il de croire au Nom du Fils de Dieu? Naturellement, c'est une chose heureuse que d'avoir foi en Jésus-Christ, de recevoir Son témoignage (Actes 10.43). Néanmoins, il est tout à fait certain que si le fidèle ignore ce que cela implique concrètement pour lui ou s'il n'en a qu'une vague idée, il passe à côté d'une grande bénédiction.
Oui, il est possible de savoir quelle est l'espérance qui s'attache à l'appel de Dieu (Éphésiens 1.18). Il est possible d'en avoir une pleine intelligence (Colossiens 2.2). D'ailleurs, l'apôtre Jean l'expose ouvertement: "Je vous ai écrit ces choses, à vous qui croyez au nom du Fils de Dieu, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, et afin que vous croyiez au nom du Fils de Dieu" (1 Jean 5.13). Ici, il n'est question ni de "peut-être" ni de "si". Non, qui a le Fils a la vie (1 Jean 5.12). Ce n'est pas une éventualité, c'est une certitude.
Maintenant, qui s'approprie cette promesse par la foi (Philippiens 3.9) obtient la paix (Romains 5.1). Quant au racheté, le péché est aboli (Hébreux 9.26) et la conscience purifiée (Hébreux 9.14). L'amour de Dieu (Jude 21) remplit le cœur et bannit toute crainte (1 Jean 4.18). Désormais, la mort ne sera plus un sujet d'épouvantement (Hébreux 2.15). Affilié (Galates 3.26) au Père parfait (Matthieu 5.48), les inquiétudes n'ont plus lieu d'être non plus (Matthieu 6.31-32).
Plus que d'apporter la connaissance du salut en Christ (Luc 1.77), les Écritures arment aussi le fidèle en vue du combat (2 Timothée 4.7) qui se profile pour garder la foi. Ce trésor est très âprement disputé, sans doute plus que l'on ne saurait dire. Aussi, les traits enflammés du diable (Éphésiens 6.16) ne manqueront-ils pas d'éprouver les bien-aimés (1 Pierre 4.12). Ceux-là doivent nécessairement être équipés (Éphésiens 6.11) pour faire face à ces terribles attaques.
Tôt ou tard, on demandera au croyant de donner raison de l'espérance qui est en lui (1 Pierre 3.15). Tôt ou tard, l'opposition surviendra pour tenter de le déstabiliser, de le faire vaciller en testant la solidité de ses convictions. Alors, si le fondement de la foi n'est pas solide (Jude 20), que se passera-t-il? Si les doutes, si les mensonges, ne sont pas vaincus, qu'adviendra-t-il? L'homme est toujours esclave de ce qui a triomphé de lui (2 Pierre 2.19).
La Parole de Dieu est le seul et unique rempart pour prévenir le danger qui menace. Elle est tranchante (Hébreux 4.12), claire, précise, cohérente, et ne laisse absolument rien au hasard. Si quelqu'un se saisit de cette puissante épée (Éphésiens 6.17) et l'utilise à bon escient, il ne chancellera pas (Proverbes 10.30). Son pas sera ferme et assuré, et nul ne lui ravira jamais sa joie (Jean 16.22). Et pour cause, la vérité aura toujours un avantage sur le mensonge, tout comme la lumière en a un sur les ténèbres et la sagesse sur la folie (Ecclésiaste 2.13).
En somme, la Parole de Dieu offre à l'homme perdu une espérance glorieuse (Colossiens 1.27), incomparable, en même temps qu'elle lui communique le moyen de la préserver. Pourquoi se priver d'une si grande grâce? Pourquoi se priver d'une vie chrétienne victorieuse? Lisons la Bible!
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