UN PÈRE AIMANT PARFAITEMENT
19/04/2021 00:52UN PÈRE AIMANT PARFAITEMENT
N’est-il pas rassurant de savoir qu’il est Quelqu’un qui ne nous abandonne jamais ? Quelles que soient nos erreurs, quelles que soient nos errements, quelles que soient nos vies, Sa fidélité ne faillit pas. Alors que tous s’en vont, nos bien-aimés, notre famille, nos plus intimes amis, le Seigneur quant à Lui ne renonce jamais à nous. Non, Son amour ne varie pas. Il est solide et constant. C’est un fait indiscutable, nul ne peut, ni ne pourra, nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.
Est-ce à dire que nous sommes sans reproche, que toutes nos voies Lui sont agréables et que nous ne bronchons en aucune occasion ? Non, bien évidemment. Pour autant, nous ne sommes pas rejetés ni livrés à nous-mêmes. Considérons ce que nous enseigne le Livre : « Car vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ. » Se peut-il exister une relation plus stable et sécurisante que celle qui est filiale ? Réfléchissons, si un enfant commet une erreur ou fait une bêtise, son père le reniera-t-il pour autant ? Non, bien sûr. Qui donc pourrait croire que le Père céleste, le Père parfait, puisse agir de la sorte ? Voici, Il nous a engendrés selon Sa volonté, par la parole de la vérité, afin que nous fussions comme les prémices de Ses créatures. C’est pourquoi, nous n’avons pas à craindre l’abandon. Nous sommes à Lui ! Quelles que soient les circonstances, les saisons de la vie ou encore les difficultés traversées, nous serons toujours à Lui.
Quelqu’un doute-il encore de cela ? Pour finir de nous en convaincre, prêtons l’oreille encore un instant : « La femme peut-elle oublier l’enfant qu’elle allaite, et n’avoir pas pitié du fils de son sein ? » Que répond le Seigneur ? « Mais quand elles les oublieraient, moi je ne t’oublierai pas. » Qu’il nous souvienne seulement de cette parole ! Oui, sans cesse, que cette pensée pleine de consolation repasse dans notre cœur : « Moi je ne t’oublierai pas. »
Esaïe 49.15-16
La femme peut-elle oublier l’enfant qu’elle allaite, et n’avoir pas pitié du fils de son sein ? Mais quand elles les oublieraient, moi je ne t’oublierai pas. Voici, je t’ai gravée sur les paumes de mes mains ; tes murs sont continuellement devant mes yeux.
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