Vanité des vanités, tout est vanité
30/11/2020 00:41Vanité des vanités, tout est vanité
Véritablement, il est ainsi. Tout passe et se flétrit. Rien ne dure sous le soleil, tout est appelé à s’éteindre et à disparaître. Tout, sauf la parole de notre Dieu. Elle seule demeure éternellement. C’est une évidence, l’homme est insignifiant, nous sommes insignifiants. N’est-il pas sage de le reconnaître ? Réalisons-le, les générations se succèdent les unes après les autres, elles paraissent et, l’instant d’après, ne sont plus. Certes, nos vies sont comme un rien, comme une vapeur qui parait pour peu de temps, et qui s’évanouit ensuite.
Lorsque nous prenons ce recul pour considérer l’existence, ce qui nous semblait d’une si grande importance paraît tout à coup tellement futile et dérisoire. Subitement, notre orgueil disparaît avec toutes nos prétentions et nos revendications. Humiliés et dépouillés de nous-mêmes, rien ne s’oppose plus à ce que nous nous occupions enfin de ce qui revêt d’une réelle importance : connaître Celui dont la mémoire est d’âge en âge, l’Éternel. Nous nous posons alors les vraies questions, celles qui nous sont profitables. Quel est le témoignage que Dieu a laissé à l’humanité ? Quels sont Ses intentions envers nous ? Qu’attend-Il de nous ? Ce sont là les choses essentielles que nous avons besoin de savoir. Nous le savons bien, tout le reste est accessoire !
Voici la réponse qui nous est apportée : Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. Soyons-en convaincus, nous n’avons rien besoin de connaître davantage. Dieu nous aime et nous engage à croire en Son Fils. Oui, Jésus-Christ est venu pour chercher et sauver ce qui était perdu. Gardons précieusement ces paroles. Oui, c’est dans le Seigneur que nous devons espérer ! Espérons-en Lui, toujours ! Il a les paroles de la vie éternelle.
Soyons-en pleinement assurés, notre espérance ne sera pas déçue !
Esaïe 40.7-8
L’herbe sèche, la fleur tombe, quand le vent de l’Éternel souffle sur elle. Vraiment le peuple est comme l’herbe. L’herbe sèche, la fleur tombe, mais la parole de notre Dieu demeure éternellement !
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